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Auf dieser Website sind keine Adressen oder Kontakte von Ärzt_innen oder anderen Therapeut_innen zu finden, da dies untersagt ist.

DE: EINFÜHRUNG | HT PUBERTÄT | HT FEMINISIEREND | HT MASCULINISIEREND | HT GEMEINSAME HERAUSFORDERUNGEN | HT REFERENZEN

Einführung

*Dieser Text wurde von Nina Wissem Htira verfasst und durch Erik Schneider angepasst und ins Deutsche übersetzt.

Die Hormontherapie ist eine Behandlungsoption, die sich an ein vielfältiges Spektrum von Menschen richtet, darunter auch solche, deren zugeordnetes Geschlecht nicht mit ihrer binären oder abinären geschlechtlichen Selbstwahrnehmung übereinstimmt, sei es binär oder abinär. Das Hauptziel besteht darin, bestimmte Geschlechtsmerkmale mit dem wahrgenommen Geschlecht in Einklang zu bringen. Es ist jedoch wichtig zu beachten, dass die Bedürfnisse und Wünsche jeder_s Einzelnen in Bezug auf diese Transformation sehr unterschiedlich sind.

Die Hormontherapie ist zweifellos Teil einer personalisierten Vorgehensweise, die auf die individuellen Bedürfnisse jeder Person abgestimmt werden muss, unabhängig davon, ob sie sich in der Binarität oder Abinität fühlt. Der Grad der Feminisierung, Maskulinisierung oder Androgynisierung ist flexibel und sollte immer ausführlich mit den Ärzt_innen besprochen werden, die diese Medikamente verschreiben… (mehr lesen).

Um die verschiedenen Herausforderungen im Zusammenhang mit der Hormontherapie zu erläutern, werden die folgenden Themen werden in vier Teilen behandelt, sei es bei Jugendlichen in der Pubertät oder bei Erwachsenen, sei es bei weiblichen, männlichen oder abinären Personen.

Teil 1: Hormontherapie in der Pubertät – Die Herausforderungen

Teil 2: Feminisierende Hormontherapie

Teil 3: Maskulinisierende Hormontherapie

Teil 4: Die gemeinsamen Herausforderungen einer Hormontherapie

Teil 1: Hormontherapie in der Pubertät – Die Herausforderungen

Warum Hormontherapie in der Pubertät?

Die Pubertät ist eine Zeit tiefgreifender körperlicher, emotionaler und psychischer Veränderungen für alle Jugendlichen. Für jene, deren bei der Geburt zugeordnetes Geschlecht von ihrer geschlechtlichen Selbstwahrnehmung abweicht, kann diese Phase besonders belastend sein. Das Auftreten von sekundären Geschlechtsmerkmalen wie Körperbehaarung, Stimme oder Körperformen, die nicht mit ihrer geschlechtlichen Selbstwahrnehmung übereinstimmen, kann ihre Gefühle der Inkongruenz und des Unwohlseins verstärken… (mehr lesen).

Die Sachlage zum Thema „Pubertätsblocker“ (06.12.2023, Artikel von Jenny Wilken von der Deutschen Gesellschaft für Transidentität und Intersexualität e.V. (dgti)) zur Gesundheitsversorgung von trans Jugendlichen (mehr, pdf), wobei der Zugang zur Gesundheitsversorgung im Zentrum des Artikels steht.

Teil 2: Feminisierende Hormontherapie

Teil 3: Maskulinisierende Hormontherapie

Veränderungen der Stimme unter Testo-Einfluss (pdf)

Individual-Beispiel: Stimmveränderung unter Testosteron-Einnahme

Teil 4: Die gemeinsamen Herausforderungen einer Hormontherapie

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FR:

Aucune adresse ou contact de médecins ou autres thérapeutes ne figure sur ce site, car cela est interdit par le droit de la concurrence.

FR: INTRODUCTION | HT PUBERTE | HT FEMINISANTE | HT MASCULINISANTE | HT ENJEUX COMMUNS

Introduction

*Ce texte est élaboré par Nina Wissem Htira et adapté par Erik Schneider

L’hormonothérapie est une option de traitement qui s’adresse à un éventail diversifié de personnes, y compris celles dont le sexe d’attribution ne correspond pas à leur →auto-perception sexuée/genrée soit →binaire, soit →abinaire. L’objectif principal est d’aligner certaines caractéristiques sexuées avec →le sexe ressenti. Cependant il est important de noter que les besoins et les souhaits de chaque individu en ce qui concerne cette transformation varient grandement.

Donc, l’hormonothérapie est sans doute une démarche personnalisée qui doit être adaptée aux besoins individuels de chaque personne, qu’elle se sente dans une optique binaire ou abinaire. Le degré de la féminisation, masculinisation ou androgynisation est flexible et devrait toujours être discuté en détail avec des médecins qui prescrivent ces médicaments… (lire plus).

Les sujets suivants seront traités en quatre parties pour examiner les divers enjeux associés à l’hormonothérapie, que ce soit pour les jeunes en phase de puberté ou les adultes, qu’ils soient masculins, féminins ou abinaires.

Première partie : L’hormonothérapie au moment de la puberté – Les enjeux

Deuxième partie : L’hormonothérapie féminisante

Troisième partie : L’hormonothérapie masculinisante

Quatrième partie : Les enjeux communs d’un traitement hormonal

Première partie : L’hormonothérapie au moment de la puberté – Les enjeux

Pourquoi l’hormonothérapie au moment de la puberté ?

La puberté est une période de profonds changements physiques, émotionnels et psychiques pour tous les adolescent_exs. Pour les jeunes dont le sexe d’attribution diverge de leur auto-perception sexuée/genrée, cette étape peut être particulièrement éprouvante. L’émergence des caractéristiques sexuées secondaires, tels que la pilosité, la voix ou encore les formes du corps, qui ne correspondent pas à leur auto-perception sexuée/genrée, peut aggraver leurs sentiments d’incongruité et de mal-être… (lire plus).

Cette incongruence entre certains éléments du corps et l’auto-perception peut entraîner un mal-être intense pour ces jeunes. Très souvent, la non-reconnaissance de l’auto-perception accompagnée par le deadnaming (morinom) et misgendering (mégenrer) et d’autres formes de la violence psychologique augmente la souffrance qui en résulte. L’angoisse de voir leur corps d’évoluer d’une manière qui ne reflète pas leur véritable être peut entre autres provoquer des sentiments d’isolement, de tristesse et de frustration. Ces émotions peuvent être exacerbées par la puberté, car les changements physiques qu’elle engendre sont souvent irréversibles et peuvent s’éloigner encore plus du sexe ressenti. Un entourage peu compréhensif risque d’augmenter ces émotions du mal-être.

La confrontation à ces changements indésirables peut parfois aboutir à des situations de détresse émotionnelle, d’anxiété ou/et dépression. Il est donc essentiel de reconnaître l’impact psychologique que la puberté peut avoir sur ces jeunes, de les rendre capables de prendre des bonnes décisions pour leur corps et leur vie, de leur fournir le soutien et les ressources nécessaires pour traverser cette période délicate de leur vie.

L’hormonothérapie au moment de la puberté, réalisée grâce à d’administration des bloqueurs de puberté offrent plusieurs avantages significatifs dans le parcours des jeunes. Premièrement, elle jour un rôle crucial dans la réduction de mal-être en mettant temporairement en pause la puberté. Cette suspension peut empêcher l’intensification de ses sentiments, favorisant ainsi une meilleure santé psychologique chez les jeunes concerné_exs. De plus, ces médicaments donnent aux adolescent_exs un précieux temps de réflexion. Durant cette période, ces jeunes peuvent approfondir leurs pensées et considération, sans être confronté_exs aux bouleversements corporels rapides engendrés par la puberté. Un accompagnement par des professionnels ouverts, bienveillants et respectueux pourrait aider d’évaluer la situation et des avantages et désavantages de chaque décision. Par contre, une thérapie psychiatrique ou psychologique forcée pourrait endommager l’intégrité psychique. Enfin, en anticipant et en bloquant les effets de la puberté, ces traitements peuvent grandement faciliter la transition hormonale ultérieure, le parcours peut s’avérer plus simple et plus efficace si la puberté n’a pas apporté de modifications majeures au corps de l’individu.

Dans ce contexte, c’est à la fin du siècle dernier que l’idée d’utiliser les bloqueurs de puberté pour les jeunes trans a commencé à émerger. Les premières cliniques à adopter cette approche étaient aux Pays-Bas dans les années 1990. L’idée était d’offrir „une fenêtre de réflexion“ aux adolescent_exs trans, en retardant la puberté et en évitant ainsi le développement de caractéristiques sexuées secondaires indésirables. Cette pause permettait à l’adolescent_e et à sa famille de prendre des décisions éclairées sur le futur traitement hormonal sans la pression des changements corporels rapides et irréversibles associés à la puberté.

Ce traitement peut également être important pour les jeunes qui se cherchent encore, pour ceux qui ne sont pas encore prêt_exs pour le développement de la puberté, ainsi que pour ceux pour qui les hormones de confirmation du sexe ne semblent pas (encore) appropriées. Les jeunes qui ne veulent ou ne peuvent pas encore s’engager à l’égard de leur auto-perception sexuée/genrée pourraient également en bénéficier.

Qu’est-ce qu’un bloqueur de puberté ?

Bloqueur de menstruation

Sur le site web de l’association allemande Transmann e.V. il y a des informations approfondie en allemand sur les médicaments : Enantone Gyn (agent : Leuprorelin), Orgametril (agent : Lynestrenol, Norethisteron (agent : Norethisteron)

Management of Menstruation in Transgender and Gender Nonbinary Adolescents

The Response of the Menstrual Cycle to Initiation of Hormonal Therapy in Transgender Men

Blocage de la testostérone

La CNS, prend-elle en charge les coûts ?

En ce qui concerne le remboursement, la CNS et d’autres assurances du Luxembourg prennent en charge ce traitement sous certaines conditions (lien). En outre, il est possible de payer soi-même.

Deuxième partie : L’hormonothérapie féminisante

Feminizing hormone therapy

Troisième partie : L’hormonothérapie masculinisante

Gynecological care for trans men

Quatrième partie : Les enjeux communs d’un traitement hormonal

Les effets indésirables du traitement hormonal chez les personnes transgenres : analyse des cas rapportés dans la base de données nationale de pharmacovigilance

EN: INTRODUCTION | HT PUBERTY | HT FEMINISING | HT MASCULINISING | HT COMMON ISSUES

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Text der französischen Association Nationale Transgenre, übersetzt aus dem Französischen ins Deutsche durch Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l.

Sie sich für eine Hormonbehandlung entschieden, Ihre Geschlechtsidentität zu leben?

Zunächst sollten Sie sich an trans Vereine wenden, um Informationen zu suchen, eine auf Ihre Situation zugeschnittene Betreuung zu erhalten und andere trans Personen und ihre Vielfalt kennenzulernen. Die Vereine werden Ihnen ihre Erfahrungen und Netzwerke zur Verfügung stellen und Ihnen die Möglichkeit geben, soziale Kontakte zu knüpfen.

Es ist sehr hilfreich, sich mit der zukünftigen Realität anderer Menschen zu konfrontieren, die in den sozialen Netzwerken oft übersehen wird: Es gibt keinen standardisierten Wunderweg für die gesamte trans Gemeinschaft. Die Gefühle der Menschen in Bezug auf ihr Geschlechtsempfinden und ihren Körper können von einem Extrem zum anderen reichen.

Auswirkungen einer Hormonbehandlung (HRT)

Hormone, so stark sie auch sein mögen, wirken nicht auf den gesamten Körper, sondern nur aufbestimmte sekundäre Geschlechtsmerkmale. Außerdem hängen die betroffenen Körperteile von der Art der Behandlung ab, ob es sich um eine maskulinisierende oder feminisierende Behandlunghandelt.

Bei feminisierenden Behandlungen

Die HRT hat keine Auswirkungen:

– auf die Knochen und damit die Körpergröße.

– das Nachwachsen der Haare.

– die Stimme und ihren Tonumfang.

Die HRT wirkt auf:

– Körperhaare, indem sie dünner werden, aber nicht verschwinden.

– die Brust mit dem Wachstum der Brüste

– die Verteilung der Fette im Körper

– die Produktion von Keimzellen, ohne dennoch unfruchtbar zu machen.

Bei maskulinisierenden Behandlungen

Die HRT hat keine Auswirkungen:

– Verhütung: Achtung, maskulinisierendes TSH ist kein Verhütungsmittel, und es scheintsinnvoll, daran zu erinnern, dass trotz des Ausbleibens der Menstruation weiterhin verhütetwerden muss, wenn eine Schwangerschaft nicht beabsichtigt ist.

– das Wachsen eines Penis- die Zerstörung der Brustdrüsen. Wenn Sie keine Brustdrüsen mehr haben möchten, ist eine Operation erforderlich.

THS wirkt auf :

– die Stimme und ihren Tonumfang

– das Haarwachstum im Gesicht und am Körper

– die Größe und die Knochen: Dies hängt jedoch davon ab, in welchem Alter mit der HRT begonnen wird.

Fall 1 : Wenn die HRT vor der Pubertät begonnen wird, kann sie sich auf die Größe
und die Knochen auswirken.

Fall 2 : Wenn die HRT begonnen wird, nachdem das Knochenwachstumabgeschlossen ist, kann das Testosteron trotzdem die Knochenstruktur in Bezug aufdie Dicke beeinflussen. Dies erklärt, warum sich die Form der Hände ändern kannund warum es möglich ist, eine Schuhgröße zu wählen, auch wenn das Wachstumbereits abgeschlossen ist.

– die Vergrößerung der Klitoris.

– die Veränderung der Hautbeschaffenheit, sie kann fettiger/dicker werden.

– Umverteilung des Fetts, das mit weniger in den Oberschenkeln, dem Gesäß und der Brust und das
sich mehr auf den Bauchgürtel konzentriert. Auch die Fettverteilung im Gesicht verändert
sich.

– Zunahme der Muskelmasse, da der Muskelaufbau durch das Testosteron erleichtert wird.

– mögliche Steigerung der Libido, die sich nach einer gewissen Zeit der HRT stabilisieren kann.

– mögliche Aktivierung von Familiengenen (Glatzenbildung, Verlust oder Veränderung der
Haardichte).

– Ausbruch von Akne.

– mögliche Entwicklung des Adamsapfels.

– Erhöhung des Blutdrucks.

– Ausbleiben der Menstruation: Nach einigen Monaten (die Dauer hängt von der Dosierung
und dem Körper jeder Person ab) kann die Menstruation ausbleiben. Bei manchen Menschen
geschieht dies allmählich, bei anderen bleibt die Periode auf einmal aus. Es ist auch möglich,
dass nach mehreren Monaten Aussetzen der Menstruation wieder ein kleiner Ausfluss
auftritt. Wenn Sie sich nicht sicher sind, wenden Sie sich an einen Arzt oder Endokrinologen,
der Sie beruhigen oder die HRT anpassen kann, falls diese eine Rolle spielt.

– die Veränderung des Stoffwechsels kann den Appetit steigern.

– mögliche Stimmungsschwankungen zu Beginn der Behandlung und Einschlafschwierigkeiten
können in den Tagen nach der Einnahme von TSH mit einem Gefühl erhöhter Energie folgen.

Es sei daran erinnert, dass die Einnahme einer HRT jedoch ihre Grenzen hat. Die Wirkung hängt von Ihrer Dosierung, Ihrer Veranlagung zur Aufnahme von Hormonmolekülen und Ihrem genetischen Erbe ab. Nicht alle hormonellen Wirkungen sind bei jeder Person gleich stark ausgeprägt. Zum Beispiel verändert sich die Stimme und/oder die Körperbehaarung jeder Person in ihrem eigenen Rhythmus und je nach Veranlagung

Da es viele verschiedene HRT gibt, ist es wichtig, dass Sie die Beipackzettel der Produkte, die Sie einnehmen möchten, lesen, sich bei Verbänden und deren Leitern informieren und sich schließlich an einen kompetenten Gesundheitsexperten wenden, um weitere Informationen zu erhalten.

An wen sollte man sich eigentlich wenden?

Wir empfehlen Ihnen, sich zunächst an einen Allgemeinmediziner, z. B. Ihren Hausarzt, zu wenden. Teilen Sie ihm Ihre Entscheidung mit und bitten Sie ihn, Sie bei der Überwachung Ihrer Gesundheit zu begleiten.

WICHTIG: Unabhängig davon, welches Produkt für die Hormonbehandlung verwendet wird, muss
eine ärztliche Betreuung erfolgen, die in erster Linie einen Gesundheitscheck umfasst.

Es kann vorkommen, dass der Arzt die Betreuung ablehnt und Sie an Endokrinologen und Psychiater
überweist, auch wenn Ihnen das nicht passt. Dies kann aus Unwissenheit geschehen (die Rolle der
HRT bei einer Transition ist derzeit nicht Bestandteil der medizinischen Ausbildung), aus
moralisierender Ablehnung (es gibt sexistische, homophobe oder abtreibungsfeindliche Ärzte, es gibt
auch transphobe!) oder, schlimmer noch, er hält Sie für eine psychisch kranke Person und schickt Sie
direkt zum Psychiater und zu psychiatrischen Krankenhausteams. Er kann auch „in den Wind
schlagen“, wie man so schön sagt, und Sie an einen Endokrinologen verweisen, wobei er weiß, dass
diese „Spezialisten“, die in der Regel keine Ahnung von dem Thema haben, mindestens eine
psychiatrische Betreuung verlangen.

Wir können es nicht oft genug wiederholen: Für die meisten Gesundheitsleistungen im
Zusammenhang mit Transgeschlechtlichkeit ist es nicht zwingend erforderlich, dass Sie sich an
Krankenhausteams wenden, die in der Praxis wenig kompetent (und vor allem misshandelnd) sind,
oder dass Sie psychiatrisch betreut werden. Dies gilt unabhängig davon, ob Sie minderjährig oder
volljährig sind.

Für Frankreich gilt, dass Allgemeinmediziner Hormone für weibliche trans Personen frei verschreiben
kann. Allerdings ist es für diese Ärzte komplizierter, Testosteron zu verschreiben, ein Molekül, das
viel stärker reglementiert ist. Es ist jedoch durchaus denkbar, dass ein Allgemeinmediziner oder sogar
ein Endokrinologe bereit ist, eine HRT für Transmänner zu übernehmen, ohne psychiatrische
Betreuung und andere multidisziplinäre Teams zu durchlaufen.

Der erste Termin …
Bei Arztterminen, sollten Sie sich klar ausdrücken. Stützen Sie sich auf zuverlässige Informationen,
die Sie von einer Organisation erhalten haben, die Sie besuchen. Das beruhigt den Arzt und zeigt ihm,
dass Sie sich vorher ernsthaft informiert haben.
Bitten Sie ihn, Sie gründlich zu untersuchen, um Ihren Gesundheitszustand zu überprüfen, was eine
Voraussetzung für eine erfolgreiche HRT ist. Vereinbaren Sie einen weiteren Termin, sobald Sie Ihre
Testergebnisse erhalten haben.

Sie haben Ihre Ergebnisse
Mit den Ergebnissen in der Tasche stellt sich nun das Problem: Welche Produkte/Hormone wird mir
mein Arzt verschreiben? Ist er gut informiert? Selbst wenn er in gutem Glauben ist, besteht das
Risiko, dass er sich bei sogenannten „Spezialisten“ informiert und Ihnen eine Behandlung verschreibt,
die nicht Ihren Erwartungen entspricht.
Keimzellen aufbewahren oder nicht?

Seine Keimzellen aufbewahren oder nicht?
Hier stellt sich die Frage nach Ihrer Fruchtbarkeit, ob Sie sie erhalten können oder nicht. Aber auch
Ihre Beziehung zu Ihrem Körper (Körperstereotypen, Ablehnung Ihrer Sexualität etc. Je nach Ihren
Erwartungen stehen verschiedene Produkte zur Verfügung, die mehr oder weniger gefährlich sind.

WICHTIG: Das Gerede einiger Ärzte, die davon sprechen, die Geburtshormone zu „entfernen“, bevor
sie eine HRT verschreiben, ist GEFÄHRLICH! Sie beruht auf keiner medizinischen Studie und ist
lediglich eine binäre und stereotype medizinische Theorie (und sogar sexistisch, wenn Sie eine Frau
mit einem signifikanten Testosteronspiegel zählen!). Diese Art von Diskurs führt heute dazu, dass
Sportlerinnen auf ihre Weiblichkeit getestet werden.

Feminisierende HRT
Sprechen Sie stattdessen mit Ihrem Arzt über die Hormonpräparate, die für die HRT von Frauen in
den Wechseljahren verwendet werden. Gut bekannt, durch zahlreiche unbestrittene Studien
bestätigt, verträglich und ohne größere negative Auswirkungen auf die Gesundheit. Es ist dieselbe
Art von HRT, die einen ruhigen Übergang ohne gefährliche Nebenwirkungen für die Gesundheit und
das psychische Gleichgewicht ermöglicht und gleichzeitig die Libido bewahrt.

Die Basis einer solchen HRT könnte zum Beispiel sein: Östrogene über die Haut, natürliches
Progesteron und, falls nötig (Haarausfall), Finasterid.

Warum Östrogen über die Haut?
Um eine Übersättigung der Leber und ein ernsthaftes Gesundheitsrisiko zu vermeiden. Die ideale
HRT verwendet Estreva Gel (oder Œstrogel). Die Anfangsdosierung (bis sich Ihr Körper daran
gewöhnt hat) beträgt in der Regel 1,5 mg / Tag. Wenn Sie diese Dosierung gut vertragen (von
Ausnahmen abgesehen), können Sie bis auf 3 mg pro Tag steigern, aber nicht darüber hinaus, das ist
unnötig. In der Regel sind 2 mg ausreichend. Es hat keinen Sinn, Ihren Körper zu drängen: Sie
riskieren nur, Ihrer Gesundheit zu schaden.

Warum natürliches Progesteron?
Die übliche Dosierung beträgt 100 mg / Tag (manchmal kann man auch bis zu 200 mg / Tag nehmen).
Dieses Produkt fördert eine bessere Fettverteilung und die Entwicklung der Brüste mit einer
harmonischeren Form. Es hilft auch, häufige depressive Verstimmungen zu reduzieren, die auf
Veränderungen des Hormonspiegels in Ihrem Körper zurückzuführen sind (Es war das Testosteron,
das Sie früher vor Depressionen schützte). Die urbane Legende, dass Progesteron automatisch zu
kleinen Brüsten führt, entbehrt jeder medizinischen Grundlage. Darüber hinaus ist es möglich,
Progesteron in einer höheren Dosierung (400 mg) zu verwenden, um den Testosteronspiegel als
Antiandrogen für Mädchen, die dies wünschen, deutlicher zu senken.

Ist es notwendig, Finasterid hinzuzufügen?
Das ist nicht unbedingt erforderlich. Man macht einen viel erfolgreicheren Übergang ohne
Antiandrogene. Allerdings kann man, wenn man möchte, dieses leichte Antiandrogen hinzufügen,
insbesondere bei Haarausfall. Diese Behandlung stoppt ihn und hilft beim Nachwachsen, wenn die
Haarwurzeln noch aktiv sind. Die übliche Dosierung beträgt 1 mg pro Tag. Man kann Chibro-proscar
(5 mg / Tag, geviertelt, um eine Dosis von ca. 1 mg / Tag zu erhalten) oder im schlimmsten Fall
Propecia (frei verkäuflich, aber sehr teuer) verwenden.

Vermännlichende Hormone
TransMann e.V. hat viele sehr interessante Informationen auch rund um das Kapitel Hormonbehandlung bei trans Männern hochwertig aubereitet. Diese sind zu finden: hier.

Einnahme von Testosteron
Die Einnahme von Testosteron kann Ihren Sexualtrieb erheblich steigern. Die sexuelle Erregung kann unerwartet und häufiger auftreten als vor Beginn der Testosteroneinnahme. Das Hormon kann auch dazu führen, dass Ihre Klitoris größer und Ihre Scheidenwände dünner werden. Beim rezeptiven Sex kann es zu Blutungen oder Schmerzen kommen. Verwenden Sie beim Sex ein Gleitmittel auf Wasserbasis, um diese Probleme zu lösen. Wenn die Beschwerden anhalten, kann Ihnen Ihr Arzt oder Ihre Ärztin eine Creme verschreiben, die die Symptome lindern kann.

Die Menstruationszyklen hören normalerweise innerhalb von drei oder vier Monaten nach Beginn der Testosteronbehandlung auf. Wenn sie länger als vier Monate andauern oder wenn sie nach dem Absetzen wieder einsetzen, informieren Sie Ihren Arzt. Möglicherweise müssen Sie sich untersuchen lassen, um sicherzustellen, dass die Blutung nicht durch eine andere Krankheit verursacht wird. Liegt kein medizinisches Problem vor, kann Ihr Arzt Ihnen eine dreimonatige Behandlung mit Progesteron empfehlen, um die Menstruationszyklen langfristig zu stoppen.

Die Hormonblocker
Ein Hormonblocker (oder Hormonhemmer) ist ein Molekül, das bei Kindern das Auftreten der
sekundären Geschlechtsmerkmale (Stimmbruch, Brust, Körperbehaarung, Menstruationszyklus usw.)
hinauszögern kann. Damit besteht die Möglichkeit, Zeit zu gewinnen zum Nachdenken und sicherzustellen, dass sich die sekundären Geschlechtsmerkmale nicht in eine Richtung entwickeln, die für den betreffenden Menschen als falsch empfunden wird und mit hohen Belastungen und Leidensdruck einhergehen kann.

Davon abzugrenzen sind geschlechtsangleichende bzw. „geschlechtsbestätigende“ (insbesondere Entwicklung der sekundären Geschlechtsmerkmale in die für den Menschen als passend empfundene Richtung) Hormone.

Im Allgemeinen wird davon ausgegangen, dass die Pubertät bei weiblich zugeordneten Personen im Alter von 9 bis 12 Jahren und bei männlich zugeordneten Personen im Alter von 12 bis 14 Jahren einsetzt. Dies entspricht in etwa dem Alter, in dem eine entsprechende Behandlung für ein trans oder abinäres Kind auf dessen Wunsch sinnvoll sein könnte.

Diese Behandlung kann auch für Kinder und Jugendliche wichtig sein, die sich noch auf der Suche befinden, für jene, die noch nicht bereit nicht bereit sind für eine Pubertätsentwicklung, wie auch für jene, für die geschlechtsbestätigende Hormone (noch) nicht als passend erscheinen. Auch könnten jene Kinder und Jugendliche profitieren, die ich hinischtlich ihrer geschlechtlichen Selbstwahrnehmung noch nicht festlegen wollen oder können.

Jede (Hormon-) Behandlung von Kindern und Jugendlichen sollte ohne Tabus mit ihnen detailliert besprochen werden. Dabei sollten sie altersgerecht über langfristige Folgen, potentielle Risiken inkl. eines möglichen Fertilitätsverlustes informiert werden, wie auch über kurz- und mittelfristige Reversibilität der pubertätsblockierenden Medikamente.

Hinsichtlich der Kostenerstattung übernimmt die CNS diese Behandlung unter bestimmten Bedingungen (Link). Darüber hinaus besteht die Möglichkeit einer Selbstzahlung.

Zur Blockade der Pubertätsentwicklung gibt es verschiedene Gruppen von Medikamenten. Im Groben seien an diseser Stelle unterschieden zwischen GnRh-Analoga, Progesteron zum Anhalten der Menstrutation wie auch Medikamenten zur Testosteron-Blockade.

Menstruationsblocker

Testosteron-Blockade

In „Le syndrome de transsexualisme : aspects cliniques et perspectives thérapeutiques“ (1997)
berichteten die sechs Unterzeichner des Artikels – darunter Thierry Gallarda und Bernard Cordier, Psychiater des „offiziellen“ Teams in Paris und Vorläufer der Société Française d’Études et de prise en Charge de la Transidentité (SOFECT) – bestätigen, dass die kombinierte Behandlung mit Cyproteronacetat (Androcur ®) und Östrogenen zu „thromboembolischen Ereignissen, Bluthochdruck, Hyperprolaktinämie und einem vorübergehenden Anstieg der Leberenzyme“ führen kann.

Dieses synthetische Molekül ist nun ins Visier der Nationalen Agentur für die Sicherheit von
Arzneimitteln und Gesundheitsprodukten (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des
produits de santé) geraten.

Vermeiden Sie auch synthetische und/oder oral verabreichte Östrogene. Dasselbe gilt für
synthetisches Progesteron. Dies sind Moleküle mit schädlichen Nebenwirkungen.

Die Hormontherapie wird eingeleitet
Nach sechs Monaten HRT wird Ihr Arzt/Ihre Ärztin erneut einen Gesundheitscheck durchführen, um
die Wirkung der Behandlung zu beurteilen. Wenn Sie gesund sind, können Sie die Dosis eventuell
etwas erhöhen. Seien Sie beruhigt, bei gut dosierten Produkten, bei denen Sie nicht rauchen, zu viel
trinken oder sich zu unausgewogen ernähren, ist dies in der Regel der Fall!

Normalerweise 2 mg und nie mehr als 3 mg Östrogen pro Tag. Und xxx Testosteron pro xxx sind
ausreichend. Vor allem sollten Sie nicht mehr einnehmen, da dies ein Gesundheitsrisiko darstellt.
Auch Ihr körperlicher Übergang wird nicht schneller verlaufen. Ein harmonischer Übergang findet
statt, wenn man seinen Körper respektiert!

Vergessen Sie nie eine Selbstverständlichkeit: Auch wenn man seinen Körper verändern möchte,
sollte man ihn nicht ablehnen. Man muss ihn schonen, man braucht ihn und zwar für lange Zeit!
Achten Sie auf eine gesunde Lebensweise und schränken Sie alle Exzesse (Alkohol, Tabak, Drogen)
ein. Die Hormone sind mächtig, auch wenn es uns nicht schnell genug geht! Sie müssen Geduld
haben (es ist wie in der Pubertät, es dauert mehrere Jahre, bis die Phase der Körperveränderungen
abgeschlossen ist). Die durch die Behandlung verursachten Hormonschocks hängen stark von der
Dosierung und der Regelmäßigkeit der Einnahme ab.

Referenzen

Infos zur Hormon-Therapie für trans* & nicht-binäre Menschen. Orientierungshilfe für eine aufgeklärte Entscheidung (transinterqueer, pdf)

Gender dysphoria care at Mayo Clinic

Prescribing for transgender patients

Parcours de transition des personnes transgenres

Endocrine Treatment of Gender-Dysphoric/Gender-Incongruent Persons: An Endocrine Society* Clinical Practice Guideline

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Aucune adresse ou contact de médecins ou autres thérapeutes ne figure sur ce site, car cela est interdit par le droit de la concurrence.

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Introduction

*Ce texte est élaboré par Nina Wissem Htira et adapté par Erik Schneider

L’hormonothérapie est une option de traitement qui s’adresse à un éventail diversifié de personnes, y compris celles dont le sexe d’attribution ne correspond pas à leur →auto-perception sexuée/genrée soit →binaire, soit →abinaire. L’objectif principal est d’aligner certaines caractéristiques sexuées avec →le sexe ressenti. Cependant il est important de noter que les besoins et les souhaits de chaque individu en ce qui concerne cette transformation varient grandement.

Donc, l’hormonothérapie est sans doute une démarche personnalisée qui doit être adaptée aux besoins individuels de chaque personne, qu’elle se sente dans une optique binaire ou abinaire. Le degré de la féminisation, masculinisation ou androgynisation est flexible et devrait toujours être discuté en détail avec des médecins qui prescrivent ces médicaments… (lire plus).

Les sujets suivants seront traités en quatre parties pour examiner les divers enjeux associés à l’hormonothérapie, que ce soit pour les jeunes en phase de puberté ou les adultes, qu’ils soient masculins, féminins ou abinaires.

Première partie : L’hormonothérapie au moment de la puberté – Les enjeux

Deuxième partie : L’hormonothérapie féminisante

Troisième partie : L’hormonothérapie masculinisante

Quatrième partie : Les enjeux communs d’un traitement hormonal

Première partie : L’hormonothérapie au moment de la puberté – Les enjeux

Pourquoi l’hormonothérapie au moment de la puberté ?

La puberté est une période de profonds changements physiques, émotionnels et psychiques pour tous les adolescent_exs. Pour les jeunes dont le sexe d’attribution diverge de leur auto-perception sexuée/genrée, cette étape peut être particulièrement éprouvante. L’émergence des caractéristiques sexuées secondaires, tels que la pilosité, la voix ou encore les formes du corps, qui ne correspondent pas à leur auto-perception sexuée/genrée, peut aggraver leurs sentiments d’incongruité et de mal-être… (lire plus).

Cette incongruence entre certains éléments du corps et l’auto-perception peut entraîner un mal-être intense pour ces jeunes. Très souvent, la non-reconnaissance de l’auto-perception accompagnée par le deadnaming (morinom) et misgendering (mégenrer) et d’autres formes de la violence psychologique augmente la souffrance qui en résulte. L’angoisse de voir leur corps d’évoluer d’une manière qui ne reflète pas leur véritable être peut entre autres provoquer des sentiments d’isolement, de tristesse et de frustration. Ces émotions peuvent être exacerbées par la puberté, car les changements physiques qu’elle engendre sont souvent irréversibles et peuvent s’éloigner encore plus du sexe ressenti. Un entourage peu compréhensif risque d’augmenter ces émotions du mal-être.

La confrontation à ces changements indésirables peut parfois aboutir à des situations de détresse émotionnelle, d’anxiété ou/et dépression. Il est donc essentiel de reconnaître l’impact psychologique que la puberté peut avoir sur ces jeunes, de les rendre capables de prendre des bonnes décisions pour leur corps et leur vie, de leur fournir le soutien et les ressources nécessaires pour traverser cette période délicate de leur vie.

L’hormonothérapie au moment de la puberté, réalisée grâce à d’administration des bloqueurs de puberté offrent plusieurs avantages significatifs dans le parcours des jeunes. Premièrement, elle jour un rôle crucial dans la réduction de mal-être en mettant temporairement en pause la puberté. Cette suspension peut empêcher l’intensification de ses sentiments, favorisant ainsi une meilleure santé psychologique chez les jeunes concerné_exs. De plus, ces médicaments donnent aux adolescent_exs un précieux temps de réflexion. Durant cette période, ces jeunes peuvent approfondir leurs pensées et considération, sans être confronté_exs aux bouleversements corporels rapides engendrés par la puberté. Un accompagnement par des professionnels ouverts, bienveillants et respectueux pourrait aider d’évaluer la situation et des avantages et désavantages de chaque décision. Par contre, une thérapie psychiatrique ou psychologique forcée pourrait endommager l’intégrité psychique. Enfin, en anticipant et en bloquant les effets de la puberté, ces traitements peuvent grandement faciliter la transition hormonale ultérieure, le parcours peut s’avérer plus simple et plus efficace si la puberté n’a pas apporté de modifications majeures au corps de l’individu.

Dans ce contexte, c’est à la fin du siècle dernier que l’idée d’utiliser les bloqueurs de puberté pour les jeunes trans a commencé à émerger. Les premières cliniques à adopter cette approche étaient aux Pays-Bas dans les années 1990. L’idée était d’offrir „une fenêtre de réflexion“ aux adolescent_exs trans, en retardant la puberté et en évitant ainsi le développement de caractéristiques sexuées secondaires indésirables. Cette pause permettait à l’adolescent_e et à sa famille de prendre des décisions éclairées sur le futur traitement hormonal sans la pression des changements corporels rapides et irréversibles associés à la puberté.

Ce traitement peut également être important pour les jeunes qui se cherchent encore, pour ceux qui ne sont pas encore prêt_exs pour le développement de la puberté, ainsi que pour ceux pour qui les hormones de confirmation du sexe ne semblent pas (encore) appropriées. Les jeunes qui ne veulent ou ne peuvent pas encore s’engager à l’égard de leur auto-perception sexuée/genrée pourraient également en bénéficier.

Qu’est-ce qu’un bloqueur de puberté ?

Bloqueur de menstruation

Sur le site web de l’association allemande Transmann e.V. il y a des informations approfondie en allemand sur les médicaments : Enantone Gyn (agent : Leuprorelin), Orgametril (agent : Lynestrenol, Norethisteron (agent : Norethisteron)

Management of Menstruation in Transgender and Gender Nonbinary Adolescents

The Response of the Menstrual Cycle to Initiation of Hormonal Therapy in Transgender Men

Blocage de la testostérone

La CNS, prend-elle en charge les coûts ?

En ce qui concerne le remboursement, la CNS et d’autres assurances du Luxembourg prennent en charge ce traitement sous certaines conditions (lien). En outre, il est possible de payer soi-même.

Deuxième partie : L’hormonothérapie féminisante

Feminizing hormone therapy

Troisième partie : L’hormonothérapie masculinisante

Gynecological care for trans men

Quatrième partie : Les enjeux communs d’un traitement hormonal

Les effets indésirables du traitement hormonal chez les personnes transgenres : analyse des cas rapportés dans la base de données nationale de pharmacovigilance

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