Verein/Association

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EINFÜHRUNG Vereinsleben

→Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. ist ein in Luxemburg ansäßiger, staatlich unabhängiger Verein (Statuten FR), der CAÏTIA ins Leben gerufen hat. CAÏTIA steht für Begleitungs- und Informationszentrum zu Fragen über →Trans, →Inter und →Abinäre Themen, Kompetenzzentrum mit dem Schwerpunkt Erfahrungsexpertise (FR: Centre d’Accompagnement et d’Information sur les questions →Trans, →Inter et →Abinaire (CAÏTIA), centre de compétence axé sur l’expertise par expérience). Informationen zur Vision und Zielsetzung des Vereins liegen auf FR vor.

Zu dem ehrenamtlichen Angebot des Vereins gehört die Organisation von verschiedenen →Gruppen, wie →Jugendgruppe, →Elterngruppe und →Selbsthilfegruppe. Bei den →Permanence-Angeboten können einerseits Jugendliche, andererseits Eltern und Familien Einzelberatung in Anspruch nehmen. Familien können zudem an unregelmäßig stattfindenden Familientreffen teilnehmen. Darüber hinaus werden →Formationen/Fortbildungen angeboten und jeweils einmal jährlich eine →Veranstaltungsreihe im Mai zu trans Themen wie auch im Oktober eine zu inter bzw. Intersex / Variationen der Geschlechtsmerkmale organisiert.

Ferner organisiert der Verein von Zeit zu Zeit Diskussionsrunden zu verschiedenen politischen und vereinsrelevanten Themen wie auch zu Bedürfnissen und Änderungsforderungen an die Politik.

Neues Asbl.-Gesetz (2023): Réforme des ASBL, ASBL UP et Fondations

Forderungen von Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. anläßlich der National-Wahlen 2023

OFFENE BRIEFE / Lettres ouvertes

29.10.2024 Lettre ouverte au Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse :
Nous vous remercions pour votre réponse à la question parlementaire n° 839 de 2024 posée par M. le Député Sven Clement, dans laquelle nous avons pu lire :
« Ech hu meng Servicer chargéiert, eng Analys bis Enn des Joers virzeleeën, fir ze kucken, datt Persounen no enger Ännerung vun hirem Geschlecht a vun hirem Numm och nei Diplomer kënnen ausgestallt kréien. Och soll d’Méiglechkeet gepréift ginn, dës Ännerunge scho virun der offizieller Ännerung vum Persounestand (état civil), op verschiddenen Dokumenter, déi duerch déi informatesch Fichiere vun der Schoul erstallt ginn, virzehuelen. Schonn elo kann ee soen, datt hei eng Rei vu juristeschen an technesche Froen ze kläre sinn, op déi eng präzis Äntwert muss fonnt ginn.»
Dans ce cadre, nous souhaiterions porter à votre connaissance une circulaire du 29/9/2021 du ministre français de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, M. Jean-Michel Blanquer, qui peut être considérée comme un recueil de bonnes pratiques : « Pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire », un recueil de bonnes pratiques. Bulletin officiel n° 36 du 30 septembre 2021, p. 10-15.

22.03.2024Lettre ouverte au Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse : Nous souhaiterions attirer votre attention sur la situation des élèves trans.
Les écoles fondamentales et lycées respectent le plus souvent, à l’oral, le prénom correspondant à leur auto-perception sexuée, ce qui est très positif.
Cependant, le prénom n’est pas modifié dans le fichier élève électronique tenu par votre ministère ni par conséquent dans les documents scolaires, ce qui crée des situations où le prénom de naissance apparaît aux yeux des autres élèves. Des questions sont alors posées et il y a là un risque de révélation de la transidentité, ce qui est une source de stress permanent pour les élèves trans qui ne sont pas dans de bonnes conditions d‘apprentissage.

08.07.2020 Lettre à Helena Dalli, Commissaire européenne en charge de l’Egalité, pour s’assure que la caisse de maladie de l’Union européenne ne rembourse pas les mutilations génitales intersexes : RCAM et droits des personnes intersexées.

23.02.2016 – 2ème Lettre ouverte à la Chambre des Députés : Suite à sa première lettre ouverte du 4 mai 2015 Intersex & Transgender Luxembourg asbl lance un deuxième appel à la Chambre des Députés. Face aux situations intenables dans lesquelles se trouvent une partie des personnes trans’, l’association demande à la Chambre de soutenir la mise en œuvre au Luxembourg, le plus rapidement possible, de recommandations récemment adoptées par le Parlement européen et par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Consultez la version intégrale

04.05.2015 – Communiqué de presse – Lettre ouverte à la Chambre des Députés : Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. adresse une lettre ouverte à la Chambre des Députés ce lundi 4 mai 2015. Face aux situations intenables dans lesquelles se trouvent une partie des personnes trans’, l’association demande à la Chambre de soutenir la mise en œuvre au Luxembourg, le plus rapidement possible, de recommandations récemment adoptées par le Parlement européen et par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Veuillez trouver le texte de la lettre ouverte sur notre site Internet avec le dossier intégral des documents cités.

PRESSEMITTEILUNGEN

In dieser Rubrik finden sich Pressemitteilungen von Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. zu inter und trans Themen.

PRESSEMITTEILUNGEN inter | PRESSEMITTEILUNGEN trans

PRESSEMITTEILUNGEN inter

Pressemitteilung „Das Blut fließt weiter. – Mission erfüllt!??“ zu Variationen der Geschlechtsmerkmale vom 11.09.2023

Communiqué de presse du 25.05.2021 „Pas de protection législative contre les mutilations génitales intersexes?“

Les réponses évasives au Comité des droits de l’enfant de l’ONU le font craindre. Les ONG intersexes demandent une interdiction pénale de toutes les formes de mutilations génitales intersexes, y compris celles pratiquées à l’étranger.

Le 21 mai 2021 s’achevait l’examen périodique du Luxembourg par le Comité des droits de l’enfant des Nations unies.

Les services du ministère de la Santé y ont déclaré: « Nous n’avons pas, donc, fait sortir une loi concernant les personnes intersexes parce que c’est un sujet qui a été traité par le ministère de la Famille qui a son plan national, donc, à ce niveau-là. »

Or, le 7 mai 2021, la réponse à une question parlementaire faisait encore mention d’un avant-projet de loi en préparation : « […] l’accord de gouvernement de 2018 entend clairement donner suite à une motion du 25 juillet 2018 votée par la Chambre des Députés qui prévoit e.a. de charger le comité interministériel LGTBI de se pencher sur les objectifs et les actions concernant les personnes intersexes en vue de légiférer en la matière dans les meilleurs délais, notamment en ce qui concerne l’accessibilité des traitements médicaux d’assignation de sexe à un âge où les personnes intersexes sont en mesure de donner leur consentement libre et éclairé, et d’en garantir le remboursement, ainsi qu’en ce qui concerne l’interdiction des traitements sans urgence vitale pratiqués sans le consentement des personnes concernées. […]

Un groupe de travail interministériel, composé de représentants des ministères de la Santé, de la Famille et de l’Intégration, ainsi que de la Justice, a été chargé d’élaborer un avant-projet de loi qui pourrait être soumis au Conseil de gouvernement d’ici la fin de l’année. »

Faut-il comprendre que cet avant-projet de loi aurait été abandonné en raison de l’existence d’un plan d’action national ?

Par ailleurs, que penser du fait que le Luxembourg a fourni des informations médicales erronées au Comité des droits de l’enfant ? …/…

26.10.2019 – „Intergeschlechtlichkeit in Luxemburg – Für ein Gesetz ohne Wenn und Aber“ Pressemitteilung anlässlich des Internationalen Intersex Awareness Day 2019

03.11.2017 « Orchids, my intersex adventure » L’aventure intersexe au Luxembourg ? Une prise de conscience encore à promouvoir ! Un ciné-débat du 7 novembre 2017 à l’occasion de la Journée de la solidarité intersexe

26.10.2017 – Journée de la visibilité intersexe

03.08.2017 – « ‘Je veux être comme la nature m’a fait(e)’. Des opérations chirurgicales non
indispensables sont pratiquées sur des enfants intersexués aux États-Unis » selon Human Rights Watch et
InterAct

22.02.2012 – Stellungnahme des Deutschen Ethikrates über Intersexualität : Zu kurz gegriffen?

Der Deutsche Ethikrat hat am 23. Februar 2012 nach 14-monatiger Arbeit im Auftrag der Bundesministerien für Bildung und Forschung wie für Gesundheit eine Stellungnahme zu dem Thema „Intersexualität“ (PDF)  abgegeben. In dem Auftrag ging es u.a. darum, den „Dialog mit den von Intersexualität betroffenen Menschen und ihren Selbsthilfeorganisationen fortzuführen und ihre Situation und die damit verbundenen Herausforderungen umfassend und unter Einbeziehung der ärztlichen, therapeutischen, sozialwissenschaftlichen und juristischen Sichtweisen aufzuarbeiten und dabei klar von Fragen der Transsexualität abzugrenzen“ sowie eine Stellungnahme zu erarbeiten. Transgender Luxembourg bedauert jedoch, dass der Deutsche Ethikrat aus einigen wichtigen Ergebnissen keine Schlussfolgerungen gezogen hat.

PRESSEMITTEILUNGEN trans

03.06.2022 – Trans whatever? Quand les mots limitent l’être. Une série d’évènements pour réfléchir et accepter, 04.-11.06.2022, Luxembourg

25.07.2018 Enfin ! Un large consensus pour le vote de la loi relative à la modification de la mention du sexe et du ou des prénoms à l’état civil

19.06.2018 Transsein ist keine psychische Störung mehr: ICD-11 ist offiziell freigegeben

17.05.2017 – L’auto-détermination au cœur du « projet de loi relative à la modification de la mention du sexe et du ou des prénoms à l’état civil et portant modification du Code Civil »

20.11.2016 – Communiqué de presse – Journée du souvenir trans’

La Journée du souvenir trans’, commémorée le 20 novembre, vise à préserver la mémoire des personnes assassinées en raison de la transphobie et entend attirer l’attention sur les violences et les discriminations vécues par les personnes trans’, enfants et adultes.

23.04.2015 – Communiqué de presse – Résolution 2048 (2015) : une grande avancée pour les droits des personnes trans

Face aux multiples discriminations auxquelles sont confrontées les personnes trans’ au quotidien, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a adopté le 22 avril 2015 la résolution 2048 (2015) sur « La discrimination à l’encontre des personnes transgenres en Europe ».

APCE (23.04.2015): Une procédure ‚fondée sur l’autodétermination‘ pour changer de sexe sur les papiers d’identité (EN) and Transgender Europe (TGEU)

Comme le souligne la résolution, « [c]ette discrimination prend diverses formes, y compris des difficultés d’accès à l’emploi, au logement et aux services de santé, et un nombre élevé de cas de discours de haine, d’infractions motivées par la haine, de harcèlement et de violences physiques et psychologiques. » Les enfants ne sont pas épargnés, comme l’a rappelé la rapporteure, Madame Schembri, en présentant le projet de résolution devant l’Assemblée : « Les enfants transgenres souffrent également beaucoup dans le système éducatif » et les « enfants et les adolescents transgenres sont victimes de harcèlements au quotidien et ont souvent recours au suicide ». Intersex & Transgender Luxembourg fait malheureusement le même constat au Luxembourg. […]

06.08.2014 – Etat civil des personnes trans’ : une question de dignité

Grâce à une question parlementaire de Madame la députée Françoise Hetto-Gaasch (PDF) du 24 juillet 2014 (n° 423 – réponse, pdf), les droits fondamentaux des personnes trans’ ont été portés à l’attention de la Chambre des Députés. Intersex & Transgender Luxembourg définit les personnes trans’ comme les personnes dont le sexe assigné à la naissance diffère de l’auto-perception, de l’identité de genre et/ou de l’expression de genre. Cela englobe les personnes transgenres, transsexuelles, transidentitaires, etc. Mme Hetto-Gaasch a notamment demandé au Ministre de la Justice s’il n’estime pas « utile que les personnes transgenres puissent obtenir un changement d’état civil sans la stérilisation forcée et par le biais d’une procédure rapide, accessible et transparente en accord avec la perception qu’elles ont de leur identité de genre, tout en préservant leur droit au respect de la vie privée et sans leur imposer des conditions qui bafouent leurs droits humains ?

12.09.2013 – Enfants et adolescent-e-s trans’ : enfin une offre spécialisée

Création d’un groupe pour enfants et adolescent-e-s trans’ et d’un groupe pour parents par Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. dans les locaux du ancien Centre de Psychologie et d’Orientation Scolaires (CPOS) – Centre psycho-social et d’accompagnement scolaires (CePAS). A partir du 12 septembre 2013, un groupe sera créé pour les enfants et les jeunes qui, contrairement aux attentes de leur entourage, ne se sentent pas « fille » ou « garçon » et refusent l’assignation du sexe qui leur a été conféré à leur naissance.

12.09.2013 – Trans‘-Kinder- und Jugendliche: Endlich ein spezialisiertes Angebot

Gründung einer Trans‘-Kinder- und Jugendgruppe sowie einer Elterngruppe durch Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. in den Räumlichkeiten des früheren Centre de Psychologie et d’Orientation Scolaires (CPOS) – Centre psycho-social et d’accompagnement scolaires (CePAS). Ab 12. September 2013 wird eine angeleitete Kinder- und Jugendgruppe für jene eröffnet werden, die sich nicht erwartungsgemäß als „Mädchen“ oder „Junge“ empfinden, d.h. deren geschlechtliche Selbstzuschreibung von dem bei der Geburt zugewiesenen Geschlecht abweicht. 

— — — — — — — — Dossier-I — — — — — — — —

Dossier I „inter / Variationen der Geschlechtsmerkmale“

EINFÜHRUNG-I | BEREICHE-I | RECHT-I

EINFÜHRUNG-I

Allgemeines: Unsere Arbeit begann lange vor Vereinsgründung (2013) bereits 2008 zu trans Themen. Dann kam 2011 eine Person nach einem Vortrag zu einem von uns… (mehr). In diesem Abschnitt geht es um eine inhaltliche Klärung, worum es sich bei inter/Intersex/Intergeschlechtlichkeit und weitere Variationen der Geschlechtsmerkmale im Konkreten handelt.

BEREICHE-I

Op & Trauma, Eltern-Kind-Bindung, fehlende Einwilligungsfähigkeit, Operationen jenseits der „nécessité médicale“ juridique

RECHT-I

Constitution du Grand-Duché de Luxembourg

Nouveau : Appel à contributions pour étayer le rapport du Haut-Commissaire des Nations
Unies aux droits de l’homme sur la lutte contre la discrimination, la violence et les
pratiques préjudiciables à l’égard des personnes intersexes (A/HRC/RES/55/14) : la contribution d’Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. du 15.09.2024.

Mutilations génitales des personnes avec des variations des caractéristiques sexuées : pour une loi au Luxembourg du 27.05.2024 (2024, 69 p.) : Analyse de la situation des enfants avec des variations des caractéristiques sexuées au Luxembourg, discussion de la position médicale et raisons de la nécessité d’une loi.

Relevante Texte

Suite à notre manifestation « Intersexe / Variations des caractéristiques sexuées » d’octobre 2023, le Pr. Dr. Benjamin Moron-Puech a effectué un signalement auprès de la directrice générale du CHL.

Konferenzen

14.-26.10.2024 Veranstaltungsreihe mit dem Titel „Intersex/Variationen der Geschlechtsmerkmale – Eine Veranstaltungsreihe zum Lernen, Lehren & Verändern“

2023 Veranstaltungsreihe mit dem Titel „Intersex/Variationen der Geschlechtsmerkmale – Eine Veranstaltungsreihe zum Lernen und Lehren“

2022 „Intersex/Variationen der Geschlechtsmerkmale – Eine Veranstaltungsreihe zum Lernen und Lehren“ (Flyer f. pädagogischen Fachtag)

2021 Intersex? Variationen der Geschlechtsmerkmale? 2. Auflage / Intersexe ? Variations des caractéristiques sexuées ? 2e édition

2020 Intersex? Variationen der Geschlechtsmerkmale? Eine Woche zum Lernen und Lehren / Intersexe ? Variations des caractéristiques sexuées ? Une semaine pour s’informer et se former.

2018 Intersex in luxemburger Schulen (informations supplémentaires)

2017 Journées intersexes (informations supplémentaires)

2015 Dissidences Intersexes (Forum intersexe européen Douarnenez, programm, Message aux personnes qui désirent faire des recherches sur nous), European Intersex Forum in Douarnenez (sous-titre en français) Council of Europe Commissioner for Human Rights, 2:58min., Droits de l’homme et personnes intersexes, Document thématique, pdf)

— — — — — — — — Dossier T — — — — — — — —

Dossier T „trans & Gesundheit“

EINFÜHRUNG-T | BEREICHE-T | RECHT-T

EINFÜHRUNG-T

Psychiatrisierung, Gesundheitsversorgung, Konversionsmaßnahmen

RECHT-T

Code de Sécurité Sociale

Statuts de la CNS – Statuts actuels (Annexe C) et propositions de refonte (2019, pdf)

— — — — Dossier trans+inter — — — —

EINFÜHRUNG-T+I | BERICHTE-T+I | RECHT-T+I

EINFÜHRUNG T+I: Es war einmal – Einführung in die Vereinsgeschichte

BERICHTE T+I

Contribution d’Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. dans le cadre d’UNECE/UN WOMEN Beijing +30 Regional Review Process (13.09.2024) et Contribution complémentaire d’Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l.

RECHT T+I

— — — — — Petitionen24-Analyse — — — — —

Petitionen24 zum Thema LGBT in der Schule (2024); Dossier: Geschlechtliche und sexuelle Vielfalt in Schulunterricht & Gesellschaft – Beispiel für Demokratie oder Rückschritt? (2025)

Inhalte und zeitlicher Ablauf der Petitionen

Bei Ausführung von Zielsetzung und Motivation der Petitionen werden folgende Themenbereiche aufgegriffen (mehr):
1) Bedeutung der Bildung und Werteerziehung
2) Zwecke der schulischen Bildung
3) Themen wie LGBT und Vivre Ensemble in den Schulprogrammen
4) Bildung als Mittel zur Meinungsbildung und Kampf gegen Diskriminierung
5) Verantwortung des Staates und der Bildungseinrichtungen
6) Zusammenarbeit zwischen Schule und Eltern
7) Gesellschaftliche, politische und rechtliche Implikationen

Im weiteren Verlauf erhielt der Verein Intersex & Transgender Luxembourg Rückmeldungen, die im Folgenden aufgeführt sind. Anschließend erfolgt eine Einordnung aus Sicht von trans und inter Personen und ihren Angehörigen.

Rückmeldungen und Reaktionen auf P1

Seitens Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. haben wir Rückmeldungen erhalten, die deutliche Unruhe, Ängste und Besorgnisse widerspiegeln, die die erste Petition bei den Menschen ausgelöst hat. Um diesen Menschen und ihren Besorgnissen Raum zu geben, sind nachfolgend Rückmeldungen und Reaktionen wiedergegeben:

Ich halte es für eine sehr schlechte Idee, LGBTQI+-Themen nicht mehr in Schulen zu besprechen. Zwar denke ich, dass heutzutage Leute, die nicht hetero oder cis sind, schon akzeptierter sind als früher, jedoch gibt es immer noch unglaublich viele Fälle, in denen ich mitbekomme, dass Leute sich schlichtweg nicht trauen, ihr Coming-out zu haben, da sie von so vielen Menschen umgeben sind, die ihnen wegen ihres Geschlechts oder ihrer Sexualität das Leben zur Hölle machen würden! (Mehr)

À mon avis, ne plus parler du sujet LGBTQI+ est une mauvaise idée. Un des arguments de la pétition était que cela devrait être la décision des parents si leurs enfants apprennent quelque chose sur ce sujet, mais je ne suis pas du tout d’accord. (Plus)

Education is something essential that everyone should have the privilege to experience. It helps children and teenagers build their own views and beliefs regarding the world. (More)

In den letzten Jahren habe ich als Grundschullehrerin erlebt, wie die Akzeptanz für LGB-Themen (Lesbian, Gay, Bisexual) deutlich gestiegen ist. Es ist heute viel normaler, dass Kinder über verschiedene Arten von Liebe Bescheid wissen. (Mehr)

Als HR-Managerin in einem internationalen Unternehmen erlebe ich täglich, wie wichtig ein respektvolles Miteinander und das Verständnis für Vielfalt sind. Die Wurzeln dieser Offenheit und Akzeptanz werden in der Kindheit gelegt. (Mehr)

Als ich vor 35 Jahren selbst Schüler war, nahm sich ein Klassenkamerad das Leben. Oft wurden Witze über ihn gemacht, man nannte ihn schwul und meinte, er sei kein „richtiger“ Junge. (Mehr)

Isn‘t what every parent wants for their kid, to be known and understood and have meaningful and loving relationships which people who truly understand them? Shouldn’t school be a place where this can happen? (More)

En tant que professeure de biologie et maman de deux enfants, j’estime qu’il est très important d’aborder la question du genre et des différentes formes de sexualité à l’école, elle fait partie intégrante de l’éducation sexuelle et affective. (Plus)

Je me demande si l‘auteur de la pétition 3198 connait des personnes trans ou leurs familles ? A-t-il pris contact avec des personnes gay, lesbiennes ou bisexuelles ? (Plus)

Als Psycholog fannen ech et ganz wichteg, dass Lgbt Themen an der Schoul enseigneiert gin. Natierlech dem Alter vun den Kanner ungepasst. Ween mengt, dass Kanner op 5e daat nämlech verzielt kreien wei Kanner aus dem 3. Schouljoer ass schlecht informeiert. (Méi)

Et ass Aufgab vun der Schoul adequat an zaitgemeiss Wessen ze vermettelen. Dozou geheiert och Wessen zu Lgbt Themen.
Zum Beispill, dass „Fraa sin“net alleng durch 2X Chromosomen defineiert gett, mee durch vill mei. Dest ass keng Ideologie, mee Basis Wessen aus der Biologie vun haut. (Méi)

Ech sin verwonnert, dass esou vill Leit Angscht hun, dass Wessen zu Lgbt an der Schoul geleiert gett. Waat faerten sie hei? (Méi)

Ech froen mech emmer erem wei et Kanner geet dei trans sin an dei heieren, dass Lgbt dat Themen net mei dierfen an der Schoul geleiert gin. Machen mir hier Realiteit, dei souwisou schon komplex ass, net domadder nach mei schweier? (Méi)

Heinsdo faerten ech wann ech un Zukunft denken. Waat wier wann meng Kanner mir iergend eng Keier soen dass sie lesbesch, schwul, bisexuel oder trans sin? Wei geif Gesellschaft se ophuelen? (Méi)

Als Psychologin frage ich mich, wie es im Moment trans Kinder, Jugendlichen und Erwachsenen in Bezug auf die Peition 3198 geht. Wie fühlt sich das an, wenn das Wissen um das eigene Sein aus der Schule verbannt werden soll? (Mehr)

Waat mengen Leit dei Petitioun 3198 ennerschriwwen hun, waat an der Schoul geleiert gett? Et scheint eng grouss Angscht ze bestoen, dass eis Kanner keinten veduewen, op schlecht Gedanken an iwwerfuerdert gin. (Méi)

Im Tageblatt vom 27.07. kommen einige Politiker_innen zu Wort, um sich über die umstrittene Petition zu äußern. Die 7 befragten Politiker_innen aus allen Parteien, ausser der ADR, sind überzeugt, dass sie den Petenten, und somit auch der! Öffentlichkeit, die nötigen Argumenten entgegen bringen können, um zu zeigen, dass die Schulen den Auftrag haben eine ausgeglichene und komplette Bildung zu bieten. Und da gehören LGBT auch dazu. (Mehr)

Als Eltern sind wir sehr schockiert darüber, dass die Petition 3198 in nur 3 Tagen das nötige Quorum erreicht hat. Noch mehr schockiert sind wir aber, dass die Petitionskommission diese Petition ohne Gegenstimme zugelassen hat. (Mehr)

Als ich in meiner Lycée’s Zeit war, hatten wir einen Mitschüler der Parallelklasse, der ein Coming-out als trans Person gemacht und damit auch seinen neuen Namen angekündigt hat (mehr →Warum nicht früher ein Coming-out?, 2024).

Alex definiert sich seit dem Alter von drei Jahren als Mädchen. In der Vorschule stellte dies kein großes Problem dar, sie war gut in der Klassengemeinschaft integriert. Erst in der Grundschule kam es zu einer konstanten Form des Mobbens (mehr →Elternbericht zu Mobbing in der Schule, 2024).

Mir hätt et gehollef, wann mir an der Spillschoul schon einfach iwwert dat Thema geschwaat hätten. Dann hätt ech mengen Elteren dat vill mei einfach kennen erklären an ech hätt mech net emmer sou schlecht gefillt (mehr →Erfahrungsbericht eines Mädchens, 2024).

„Bist du schwul oder was?“ So reden in der Schule viele mit denen, mit denen sie nicht klar kommen oder auf die sie wütend sind. Die Personen, die das gesagt bekommen, sind dann traurig, weil sie das als Beleidigung empfinden. Würden wir von Anfang an in der Schule lernen, dass Homosexualität auch normal ist, würde niemand es als Beleidigung sagen oder aufnehmen.
Das Gleiche passiert mit dem Wort trans. „Uuuh du Transe!“ sagen die Jungs in unserer Klasse oft um Andere zu nerven oder runter zu machen. Dabei wissen sie nicht einmal was das eigendlich bedeutet (mehr). (Schwester eines trans Mädchens)

„Durch persönliche Erfahrung habe ich gelernt, dass nicht nur Erwachsene, sondern auch Kinder schockiert auf die Eröffnungszeremonie der olympischen Spiele reagiert haben. Diese Vorurteile oder „Angst vor dem Unbekannten“ können Kinder nur durch die Reaktionen oder Erfahrungswerte der Eltern lernen […]. (mehr, →Biologie-Lehrer, 40 J., August 2024)

Reflections on the exclusion of LGBT topics from the education of minors
Reflecting on my school days as a trans person, a lot of my memories are marked by shame, fear, and isolation [more].
The petition has already done damage. To know that at least 9900 people do not care to allow children to live authentically and to dream of futures for themselves is painful.
It is a climate that I would not have known how to confront back when I was in school, and my heart goes out to all of those who are dealing with it today and continuing to push forward (A. 23 years, 09.09.2024).

Generalisierte Aspekte zu Bildung, Wandel und Konzepten (pdf)

Allgemeines: Im Folgenden geht es um einen Einblick in einige Bildungsmodelle, die sich in den letzten Jahrzehnten erheblich gewandelt haben. Der traditionelle Ansatz, Wissen einfach in die Köpfe der Schüler zu „trichtern“ („Nürnberger Bildungstrichter“), ist überholt. Stattdessen wird heute ein integrativer Bildungsansatz verfolgt, der die gesamte Persönlichkeit des Lernenden berücksichtigt und die Verbindung von Wissen, Werten und aktiver Teilnahme an der Unterrichtsgestaltung betont. Anschließend folgen einige Einblicke in das Leben von trans Schüler_innen während der Schulzeit, wie auch mögliche Folgen, wenn das Thema Geschlechtervielfalt nicht in der Schule angesprochen wird. Viele Aspekte lassen sich auch auf LGB-Themen übertragen. In diesem Rahmen werden anschließend drei häufige Situationen betrachtet: die Frage des Coming-out oder nicht, die Durchführung einer Transition in der Schule oder nicht einschließlich des Umganges mit Vornamen und Pronomen sowie auch mögliche Belästigung, Diskriminierung und Gewalt in der Schule.

Wandel von Bildungskonzepten
Partizipation und Wertevermittlung
Klafkis Ansatz zur Bildung
Innovative Schulkonzepte
Beispiele für moderne Ansätze
Bildungsauftrag und gesellschaftliche Verantwortung der Schule
Wissen als Grundlage für Inklusion
Prävention von Gewalt und Diskriminierung
Intervention und Unterstützung

Staatliche Verantwortung für Inklusion und Gewaltprävention
Bei Inklusion und Prävention von Gewalt und Diskriminierung handelt es sich um staatliche Aufgaben, unabhängig von Wissen und Wissensstand Einzelner (Familien).
Schwerpunktmäßig geht es um Inklusion und Prävention von Gewalt und Diskriminierung und Wertevermittlung im Bildungssystem.

Zusammenfassend lässt sich sagen, dass die Verantwortung für Inklusion und die Prävention vor Gewalt und Diskriminierung im Bildungssystem verankert ist. Schulen müssen als Orte fungieren, an denen Werte vermittelt werden, die das gesellschaftliche Zusammenleben fördern. Durch gezielte Bildungsmaßnahmen können sie dazu beitragen, ein respektvolles und inklusives Klima zu schaffen, das allen Schüler_innen zugutekommt und Diskriminierung aktiv entgegenwirkt.

Diversitätssensibilität und -kompetenz
Dies schließt Diversitätskompetenz als erlernbares Werkzeug, Diversitätssensibilität in der Lehre wie auch Prävention von Diversitätsaversion ein.

Schlussfolgerung: Diversitätssensibilität und -kompetenz sind erlernbare Fähigkeiten, die Bildungseinrichtungen vermitteln müssen, um Diskriminierung zu verhindern und Inklusion zu fördern. Dies erfordert die Vermittlung von Wissen, die Entwicklung von Fähigkeiten und die Förderung diversitätssensibler Einstellungen. Nur so können Bildungseinrichtungen ihrer Verantwortung gerecht werden, ein inklusives Umfeld zu schaffen und Diversität als Normalität zu etablieren.

Bildungsauftrag des Staates
Der Bildungsauftrag des Staates ist entscheidend für die Förderung von Inklusion und die Prävention von Gewalt und Diskriminierung. Die zweite Säule des Bildungsauftrags außerhalb staatlicher Institutionen stellt der elterliche Erziehungsauftrag dar.

Staatliche Verantwortung und Elternrecht
Wertevermittlung im Bildungssystem

Insgesamt ist es wichtig, dass Bildungseinrichtungen ein respektvolles und inklusives Lernumfeld schaffen, das Diskriminierung und Gewalt aktiv entgegenwirkt und gleichzeitig die Werte der Demokratie stärkt. Insofern haben Schulen den Auftrag, sich gegen die Erziehung in Elternhäusern zu stellen, wenn diese sich für Diskriminierung und gegen Demokratie positionieren. Dies gelingt jedoch nur, wenn der staatliche Bildungsauftrag richtliniengemäß, basierend auf Bildungsstandards umgesetzt werden kann, weil Bildungseinrichtungen mit ihren Akteur_innen konsequent geschützt werden. Nur so können Anti-Diskriminierungsmaßnahmen wie auch demokratische Strukturen und Werte dauerhaft erhalten werden.

Erfahrungen und Herausforderungen junger trans Personen (pdf)

Allgemeines: In diesem Kapitel werden zentrale Themen und Herausforderungen im Leben vor allem von trans Jugendlichen beleuchtet. Dabei stehen das Coming-out, das Leben im sogenannten „Stealth-Modus“ sowie der Prozess der Transition im Vordergrund. Zusätzlich wird auf problematische Erfahrungen wie Deadnaming und Misgendering eingegangen, die häufig im Alltag dieser Personen auftreten. Abschließend werden verschiedene Formen von Belästigung, Diskriminierung und Gewalt thematisiert, die viele trans Jugendliche erfahren. All diese Aspekte verdeutlichen die vielschichtigen Hürden, die auf dem Weg zu Akzeptanz und Gleichberechtigung bestehen.

Coming-out versus stealth
Transition, Deadnaming und Misgendering
Belästigung, Diskriminierung, Gewalt
Schutz vor Diskriminierung (s. auch unter Rechtliche Verpflichtungen und Gesetze)

Schlussfolgerungen: Die Integration der Themenbereiche „sexuelle und geschlechtliche Vielfalt“ führt zu einer Verminderung von Diskriminierung und Gewalt gegenüber jenen, die entweder sich selbst oder durch andere sog. Sexuellen oder geschlechtlichen Minderheiten zugeordnet werden.

Geschwisterkinder (pdf)

Einleitung: Studien zeigen insgesamt, dass Geschwister von LGBT-Kindern – sowohl LGB als auch trans – häufig ähnliche emotionale und soziale Herausforderungen erleben, obwohl es spezifische Unterschiede gibt, insbesondere im Hinblick auf die zusätzlichen Komplexitäten im Zusammenhang mit Geschlechtsidentität. Geschwister übernehmen oft eine unterstützende Rolle, erleben jedoch auch emotionale Belastungen und können sich in ihren eigenen Bedürfnissen vernachlässigt fühlen.

Vergleichbare Beobachtungen zwischen jungen LGB und trans Personen

Emotionale Belastung und Stigmatisierung (Übereinstimmung): Geschwister von LGBT-Kindern erleben häufig emotionale Belastungen und Stigmatisierung, wenn ihre Geschwister Diskriminierung oder Vorurteilen ausgesetzt sind. Diese Belastungen können Sorgen um das Wohlbefinden des Geschwisters, Stress und Angst vor sozialer Ausgrenzung umfassen.

Rolle als Unterstützende (Übereinstimmung): Wie bei Geschwistern von LGB-Personen übernehmen auch Geschwister von LGBT-Kindern oft eine unterstützende Rolle. Sie versuchen, ihren LGBT-Geschwistern emotional beizustehen und in schwierigen Zeiten Unterstützung zu bieten.

Geringere Beachtung der eigenen Bedürfnisse (Übereinstimmung): Geschwister von LGBT-Kindern erleben häufig, dass ihre eigenen Bedürfnisse und emotionalen Herausforderungen weniger Beachtung finden, da der Fokus häufig auf den Bedürfnissen der LGBT-Kinder liegt.

Familiäre Dynamik und Konflikte (Übereinstimmung): Die sexuelle Orientierung oder Geschlechtsidentität eines Geschwisters kann die familiäre Dynamik beeinflussen, was zu zusätzlichen Konflikten und Spannungen führen kann. Geschwister können in Konflikte hineingezogen werden, insbesondere wenn Vorurteile oder Spannungen in der Familie bestehen.

Spezifische Unterschiede

Erfahrungen bei Geschwistern von trans Personen: Zusätzliche Dimensionen: Geschwister von trans Personen könnten zusätzlich mit Fragen der Geschlechtsidentität und geschlechtlichen Ausdrucksformen konfrontiert sein. Sie könnten mit spezifischen Herausforderungen wie dem Umgang mit Namen und Pronomen ihrer trans Geschwister oder dem Verstehen von Geschlechtsdysphorie umgehen müssen.

Gesellschaftliche Wahrnehmung und Unterstützung: Unterschiede in der Unterstützung: Die Unterstützung und die gesellschaftliche Wahrnehmung können für Geschwister von trans Personen unterschiedlich sein, da trans Themen oft weniger akzeptiert oder verstanden werden als LGB-Themen. Dies kann die Unterstützung, die Geschwister erhalten, beeinflussen.

Ablehnende Eltern (pdf)

Einleitung: Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. hat Berichte erhalten, in denen ein Elternteil sein trans Kind aufgefordert, sich das Leben zu nehmen. Dies betraf sowohl präpubertäre wie auch junge Menschen in der Adoleszenz. Wie bereits in der Stellungnahme zum Gesetzentwurf 7146 über die Änderung der Angabe des Geschlechts und des oder der Vornamen im Personenstand und zur Änderung des Zivilgesetzbuches (26.4.2018) dargelegt, „[zeigen] Praxiserfahrungen und mehrere Studien, dass die Weigerung, das Kind in seiner geschlechtlichen Selbstwahrnehmung zu respektieren, insbesondere korreliert ist mit einem sprunghaften Anstieg der Suizidalität sowie einem Anstieg des Risikoverhaltens, z.B. Drogenkonsum (Ryan et al., 2009), und dass es umgekehrt Kindern, die respektiert werden und denen es erlaubt wird, im Alltag gemäß ihrer geschlechtsspezifischen/geschlechtlichen Selbstwahrnehmung zu leben, besser geht (Olson et al.,2016)“.

Darüber hinaus können Kinder, deren Eltern Transidentität ablehnen, aufgrund dessen misshandelt werden. Aus diesen Gründen sollten trans Kinder, die von ihren Eltern abgelehnt werden, als gefährdet angesehen werden und sich an die Schule wenden können, um Hilfe zu erhalten. Dies setzt Fachkräfte_innen voraus, die ein Mindestmaß an Informationen und Ausbildung zu diesem Thema erhalten haben.

Schulpersonal (pdf)

Vermittlung von Inhalten zur geschlechtlichen und sexuellen Vielfalt in den Schulen

  • Es gibt Lehrpersonal in der EF und ES, das Inhalte zur sexuellen und geschlechtlichen Vielfalt altersgerecht vermittelt. Unter ihnen sehen einige dies unproblematisch, haben sich Inhalte und Strategien entwickelt und fühlen sich sicher, falls von elterlicher Seite hierzu Rückfragen kommen. Andere bringen die Themen punktuell in den Unterricht ein, fühlen sich aber nicht immer sicher und zusätzlich durch Kolleg_innen, Schulleitung/Direktion und/oder Erziehungsministerium nicht vor elterlichen Angriffen geschützt. Dieses Empfinden führt bei weiteren Lehrpersonen dazu, dass sie Themen zur geschlechtlichen und sexuellen Vielfalt nicht unterrichten.
  • Ferner gibt es Schulpersonal in der EF und ES, das schulfremde Personen einlädt, um derartige Inhalte ohne objektivierbaren und evaluierten Qualitätsnachweis zu vermitteln.
  • Lehrpersonal in EF und ES, die keine Inhalte zur geschlechtlichen und sexuellen Vielfalt vermitteln und auch keine schulfremde Personen einladen, die Themen zu vermitteln.
  • Auch werden durch weitere Schulangehörige im Rahmen von Projekten Themen der geschlechtlichen und sexuellen Vielfalt aufgegriffen, zu denen auch schulfremde Personen eingeladen werden. Die Projekte basieren oftmals auf freiwilliger Teilnahme der Schüler_innen.
  • Insgesamt ist jedoch nicht sichergestellt, dass Schüler_innen im Laufe ihrer schulischen Laufbahn in Luxemburg Themen zur geschlechtlichen und sexuellen Vielfalt qualitativ hochwertig vermittelt bekommen.

Die Feststellungen ergeben sich aus jahrelangen Beobachtungen, insbesondere bei der Teilnahme von Schulprojekten wie auch im Rahmen von Formationen, die beim Institut de formation de l’Éducation nationale (IFEN) durchgeführt wurden.
Hierbei ist anzumerken, dass das IFEN seit vielen Jahren umfangreiche Weiterbildungsangebote zu diesen Themen einschließlich Homophobie und Transphobie wie auch Vermittlung von LGBTI-Themen im Unterricht von EF und ES (Inklusion von LGBTIQ-Kindern in der Grundschule und Sekundarstufe) anbietet. Im letzten Schuljahr wurden diese Themen um Misogynie und Lesbophobie erweitert.

Ein konkretes Beispiel, welches die oben genannte Angst insbesondere von Personal der EF widerspiegelt, ist eine Aufforderung durch einen Abgeordneten des Luxemburger Parlamentes an Eltern, Schulpersonal unter Druck setzen, wie Nathalie B. in einem Témoignage mitteilte:
„Gestern, 24.07., hat Tom Weidig auf Facebook sich über den Erfolg der Petition 3198 erfreut. Sein Message an die Eltern: Traut euch dem Lehrpersonal und Schuldirektoren eine rote Karte zu geben! Ihr habt 5000 Bürger hinter euch! […, pdf].“ (mehr)
Unser Sohn von 16 Jahren befindet sich mitten in der Transition. Die letzten Jahren waren schon nicht einfach für ihn. Nun plagen ihn wieder weitere Ängste und Sorgen.“

Hierbei wird deutlich, wie tiefgreifend politische Aussagen wirken und ein Klima der Angst und Verunsicherung nicht nur beim Schulpersonal, sondern auch für andere Eltern und die Jugendlichen selbst schaffen können. Dies trifft auch für Kinder in der Ecole fondamental und deren Eltern zu. Auch die weiteren, von Nathalie B. aufgeworfenen Fragen müssen ernst genommen und von politisch verantwortlicher Seite beantwortet werden, wie „Aber mehr noch, werden die Schulen für die Rentrée darauf vorbereitet, dass der Inhalt und der noch nicht absehbarer Erfolg dieser Petition thematisiert wird? Sei es bei den Schüler_innen, den Eltern aber auch unter dem Lehrpersonal?“

Noch weiter geht die Aufforderung der Abgeordneten derselben Partei, ein Disziplinarverfahren gegen eine Schuldirektorin einzuleiten (s. Wort vom 18.07.2024), die in einer Rede zum Premières-Examen auf rechtsextreme und rechtspopulistische Gefahren für die Demokratie hinwies. Sie habe in diesem Rahmen nach Auffassung der Partei gegen den Eid der „impartialité“ von Staatsbeamt_innen verstoßen. In diesem Kontext wurden zudem zwei parlamentarische Anfragen dieser Partei zur politischen Neutralität von Staatsbeamt_innen gestellt: Question parlementaire n° 983 du 08 juillet 2024 de Fred Keup (pdf) – réponse n° 983 (pdf) und Question parlementaire n° 1034 du 18 juillet 2024 de Fred Keup (pdf) – réponse n° 1034 (pdf). Der Bildungsminister stellte in diesem Zusammenhang klar, dass die Direktorin den Eid nicht gebrochen, sondern die Grundprinzipien des Rechtsstaates wie Gleichheit vor dem Gesetz, Diskriminierungsverbot und freie Meinungsäußerung gemäß der Verfassung des Landes vertreten habe. Die Vermittlung demokratische Prinzipien gehöre zu den Aufgaben von Beamt_innen.

„Déi politesch Neutralitéit, där sech all Beamten an och eis Schoule verpflichten, fënnt hir Limitten an eiser Verfassung an och an de Mënscherechter. Eis ëffentlech Schoul däerf net neutral si par rapport zu de Feinde vun eise fräiheetlech demokratesche Grondwäerter, also och net par rapport zu rietsextreemen oder rietspopulistesche Gedanken. […] D’Schüler sollen an der Schoul zur Toleranz erzu ginn. Domadder kann awer net d’Toleranz géigeniwwer der Intoleranz gemengt sinn. An deem Sënn ass et absolut zoulässeg, jo souguer wënschenswäert, datt sech d’Schoule géint Rietsextremismus a Rietspopulismus engagéieren.“ (24.07.2024, Minister fir Educatioun, Kanner a Jugend, Claude MEISCH, S. 58); s. auch:

„Die politische Neutralität, zu der alle Beamten und auch unsere Schulen verpflichtet sind, findet ihre Grenzen in unserer Verfassung und auch in den Menschenrechten. Unsere öffentliche Schule darf gegenüber den Feinden unserer freiheitlichen und demokratischen Grundwerte nicht neutral sein, also nicht gegenüber rechtsextremen oder rechtspopulistischen Ideen. […] Die Schüler sollen in der Schule zur Toleranz erzogen werden. Damit kann aber nicht die Toleranz gegenüber der Intoleranz gemeint sein. In diesem Sinne ist es durchaus zulässig, ja sogar wünschenswert, dass Schulen sich gegen Rechtsextremismus und Rechtspopulismus engagieren.“ (Bildungsminister Claude Meisch, 24.07.2024, übersetzt durch Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l.)

Lehrkräfte müssen nicht neutral sein. Debatte um „Neutralität“ im Klassenzimmer (25.04.2024, Gewerkschaft Erziehung und Wissenschaft (GEW): Lehrkräfte haben in Deutschland die gesetzliche Pflicht, Schüler*innen demokratische Werte wie Menschenrechte und Toleranz zu vermitteln – sie müssen nicht politisch neutral sein. Doch dieser Irrglaube hält sich hartnäckig. Ein Faktencheck.

Nachgefragt – Der MSB Podcast – Mythos Demokratieneutralität – Was darf ich als Lehrkraft in der Schule? (September 2024, 18min.31): Gerade rund um die Landtags- und Kommunalwahlen sowie die Bundestagswahl im kommenden Jahr gewinnt das Thema Demokratieneutralität in der Schule noch einmal besonders an Dynamik. Ulrich Wehrhöfer ist Abteilungsleiter im Schulministerium und unter anderem für die politische Bildung zuständig. Er erklärt im Podcast worauf Lehrkräfte achten müssen, wenn im Unterricht politische Diskussionen aufkommen.

Beutelsbacher Konsens (2011, Bundeszentrale für politische Bildung): Zu den anerkannten fachlichen Prinzipien politischer Bildung gehört dabei der „Beutelsbacher Konsens“, der in den 1970er Jahren formuliert wurde, und seither besonders für die formale politische Bildung auf drei zentrale didaktische Leitgedanken [in Deutschland] verweist. 1. Überwältigungsverbot (Es ist nicht erlaubt, den Schüler – mit welchen Mitteln auch immer – im Sinne erwünschter Meinungen zu überrumpeln und damit an der „Gewinnung eines selbständigen Urteils“ zu hindern.), 2. Was in Wissenschaft und Politik kontrovers ist, muss auch im Unterricht kontrovers erscheinen, 3. Der Schüler muss in die Lage versetzt werden, eine politische Situation und seine eigene Interessenlage zu analysieren.

Bedürfnisse des Lehrpersonals
Aus den kurz skizzierten Beobachtungen lassen sich verschiedene Bedürfnisse seitens des Lehrpersonals ableiten. Hierzu gehört insbesondere, bei der Vermittlung von sexueller und geschlechtlicher Vielfalt im Unterricht vor Angriffen von Eltern geschützt zu werden, wenn diese sich nicht mit den Lehrinhalten einverstanden erklären. Dieser Schutz sollte auf drei Ebenen erfolgen: erstens zwischen den Kolleg_innen, zweitens durch Schulleitungen bzw. Direktionen und drittens durch das Erziehungsministerium und den Erziehungsminister. Das Beispiel der Schuldirektorin verdeutlicht zudem, dass auch Schuldirektionen vor elterlicher wie auch politischer Übergriffigkeit geschützt werden müssen. Hierzu sollten klare, schriftlich verfasste Regularien transparent auch für Außenstehende sichtbar und bekannt gemacht werden.
Ein weiterer Schutz des Lehrpersonals könnte dadurch hergestellt werden, in dem die Themen „geschlechtliche und sexuelle Vielfalt“ verbindlich in die Schulcurricula von EF und ES aufgenommen werden.
Auch würde die Ausweitung von entsprechenden Bildungsmaterialien mit altersgerechter Aufbereitung einen wertvollen Beitrag leisten können, die Schwelle der Vermittlung dieser Themen herabzusetzen und den Zugang zur Vermittlung zu erleichtern.

Rechtliche Lage und internationale Verpflichtungen (pdf)

Einführung: Bei der Debatte um die Behandlung von LGBTQ+ Themen in luxemburgischen Schulen stehen grundlegende Fragen der Menschenrechte, Bildungsgerechtigkeit und Diskriminierungsprävention im Mittelpunkt. Luxemburg hat sich durch die Ratifizierung verschiedener internationaler Abkommen zu hohen Standards in der Bildung und zum Schutz der Rechte aller Kinder verpflichtet. Die UN-Kinderrechtskonvention, der Internationale Pakt über wirtschaftliche, soziale und kulturelle Rechte und die Europäische Menschenrechtskonvention setzen klare Maßstäbe für eine inklusive und diskriminierungsfreie Bildung. Diese Verpflichtungen umfassen das Recht auf Bildung, die Verständnis, Toleranz und Nichtdiskriminierung fördert, sowie das Verbot der Diskriminierung aufgrund sexueller Orientierung oder Geschlechtsidentität. Die Entfernung von LGBTQ+ Themen aus dem Schulunterricht würde nicht nur gegen diese internationalen Verpflichtungen verstoßen, sondern auch die Bemühungen um eine inklusive und tolerante Gesellschaft untergraben. Zudem haben sich verschiedene nationale und internationale Institutionen, darunter der luxemburgische Ombudsman für Kinder und Jugendliche, bereits positioniert und warnen vor den möglichen negativen Konsequenzen eines solchen Vorhabens.

Internationaler Vereinbarungen und Bildungs-/Standards
Kinderrechte
Nationale Gesetzgebung

Weitere Quellen

Lebenssituationen und Erfahrungen von lesbischen, schwulen, bisexuellen und trans* Jugendlichen in Luxemburg (2019, C. Meyers et al., Universität Luxemburg, 132 S., pdf)

Selon le rapport „Safe at school: Education sector responses to violence based on sexual orientation, gender identity/expression or sex characteristics in Europe“ publié par le Conseil de l’Europe en partenariat avec l’UNESCO (2018, p. 37):

« LGBTI students experience safer and more positive school environments when curricula include positive representations of LGBTI people, and discuss issues of sexual and gender diversity. They hear anti-LGBTI remarks less often, feel safer, and report less violence [33], [46]. »

LGBTIQ equality at a crossroads – Progress and challenges (2024, Fundamental Rights Agency, FRA, pdf)

LGBTQI
 Inclusive Education Database (IGLYO) mit Zusatz-Informationen zu Luxemburg: Trotz des LGBTI-Planes hat sich die Situation für trans, inter und abinäre Personen im Land nicht verbessert, sondern seit 2018 teils verschlechtert. Intergeschlechtliche Kinder sowie Kinder mit anderen Variationen der Geschlechtsmerkmale werden weiterhin im nicht-einwilligungsfähigen Alter operiert, auch wenn diese Operationen nicht zur Abwendung lebensbedrohlicher Situationen oder zum Erhalt der Fruchtbarkeit dienen (Analyse, 2024, Tageblatt v. 16.08.2023). Die Bedürfnisse abinärer Menschen, insbesondere nach Anerkennung einer dritten Geschlechtsoption, bleiben unberücksichtigt, obwohl dies seit 2018 beim Justizministerium angefragt wird und im Plan LGBTI (2018) aufgenommen wurde. Zudem ist der Zugang zu körpermedizinischen Maßnahmen für abinäre Personen nur möglich, wenn sie sich verleugnen oder bewusst verstellen, also „klar und ohne jegliche Unsicherheit“ als trans binär ausgeben. Der Zugang zu pubertätsverzögernden oder geschlechtsangleichenden Medikamenten wurde für unter 18-Jährige binäre trans Jugendliche erheblich erschwert. Aber auch erwachsene trans Personen müssen sich für die Kostenübernahme durch die nationale Gesundheitskasse (CNS) einer Hormonersatztherapie wie auch Operationen erniedrigenden und kostspieligen psychiatrischen Verfahren unterziehen (Ärzt_innen, 2024). (Mehr)

Equality of Opportunity for Sexual and Gender Minorities (2024, World Bank, pdf)

Zwischen Fremd- und Selbstbestimmung. Zur Lebenssituation von trans und nicht-binären Jugendlichen und jungen Erwachsenen in Deutschland (2024, Emmie Mika Stemmer et al., Hg. Deutsches Jugendinstitut e.V., gefördert vom Bundesministeriums für Familie, Senioren, Frauen und Jugend (BMFSFJ), pdf)


Intersex & Transgender Luxembourg a.s.b.l. a reçu des témoignages de familles où l’un des parents a enjoint à son enfant trans de se suicider.

Comme déjà écrit dans l‘Avis sur le projet de loi 7146 relative à la modification de la mention du sexe et du ou des prénoms à l’état civil et portant modification du Code civil (26.04.2018) :

„35. L’expérience de terrain et plusieurs études montrent que le refus de respecter l’enfant dans son auto-perception sexuée/genrée est notamment corrélée à :

• une augmentation en flèche de la suicidalité23,

• une augmentation des comportements à risque24,

et qu’à l’inverse, les enfants qui sont respectés et autorisés à vivre au quotidien conformément à leur auto-perception sexuée/genrée vont mieux25. „

Tom Weidig im face à face mit Tom Hecker am 18.06.2024

Tom Weidig bezeichnet am 18. Juni in einem face à face mit Tom Hecker auf rtl Radio die Präsenz von Trans Personen als Pandemie. Als Vater von einer 12-jährigen Tochter (trans Mädchen) mache ich mir über solche, und vielen anderen Aussagen, große Sorgen. Auch bin ich schockiert wieviel Raum Tom Weidig in dieser Sendung bekam, um seine unreflektierte und sehr Trans- und Homofeindliche Äußerungen einem breiten Publikum zu unterbreiten, ohne dass die Journalistin mit einem Minimum von Wissen eingegriffen hätte. (Mehr)

Abschließendes Fazit zu den Petitionen – Nachlese

Die Anhörung der Petitionen Nr. 3198 und Nr. 3281 in der Abgeordnetenkammer am 29. Januar 2025 hat nicht nur eine kontroverse und emotionale Debatte ausgelöst, sondern auch grundlegende gesellschaftliche Herausforderungen in den Fokus gerückt. Die intensive Berichterstattung in der nationalen Presse spiegelte die Bedeutsamkeit des Themenkomplexes „sexuelle und geschlechtliche Vielfalt“ bzw. LGBTIQA+-Themen für Luxemburg wider – zumindest für interessierte Personenkreise.

Die Unterstützenden der Petition Nr. 3198 argumentierten für ein Verbot von LGBT-Themen im Schulunterricht für Minderjährige, wobei sie zu einem späteren Zeitpunkt eine Altergrenze von 10 bis 11 Lebensjahren nannten. Als Begründung, äußerten sie mehrfach die Sorge, dass Kinder durch eine Frühsexualisierung verwirrt könnten, weil sie nicht über die kognitive Reife verfügen würde, solche Themen zu verstehen. Ferner äußerten sie das Empfinden, dass in ihre Bedenken nicht ernst genommen und sie in eine ideologische Ecke gedrängt werden. Zudem vertraten sie die Auffassung, dass es Recht der Eltern sei, selbst zu entscheiden, ob und wie ihre Kinder mit sensiblen Themen in Berührung kommen. Dabei stellten sie einen Vergleich mit dem Religionsunterricht her, bei dem die Eltern über die Teilnahme ihrer Kinder entscheiden konnten. Ferner äußerten sie, dass die „Community“ historisch nie wirklich diskriminiert worden sei – eine Sichtweise, die durch historische Fakten widerlegbar ist, wie etwa die Verfolgung homosexueller Männer im Nationalsozialismus[1] zeigt. Die Debatte offenbarte auch Unwissenheit wie auch eine große Unsicherheit darüber, welche Inhalte in Schulen tatsächlich vermittelt werden, gepaart mit einer tiefen Skepsis gegenüber schulfremden Akteur_innen, die möglicherweise ideologische Absichten verfolgen.

Auf der anderen Seite wurde bei der Diskussion der Petition Nr. 3281 deutlich, dass viele dieser elterlichen Ängste auf fehlendem Wissen und Fehlinformationen basieren. Ein Blick in die Geschichte – gerade im Jahr des 80. Jahrestags der Befreiung von Auschwitz am 27. Januar 2025 – zeigt, wohin Unwissenheit wie auch die gezielte Verbreitung von Fehlinformationen und die daraus resultierende Ausgrenzung führen können. Wie aus der Nazi-Vergangenheit bekannt ist, kann dies durch systematische Entwertung, Diskriminierung und Diffamierung zu Entmenschlichung (Form sprachlicher und sozialer Gewalt, bei der Menschen oder Gruppen ihre Menschlichkeit und Würde abgesprochen wird) und in der Folge zu schwerwiegenden Menschenrechtsverletzungen führen. Unterstützende dieser Petition wiesen darauf hin, dass LGBTIQA+ keine Ideologie sei (, sondern eine Realität der menschlichen Vielfalt) und dass eine zunehmende Verbreitung von Hass und gezielter Manipulation real existierende Gefahren für die psychische und physische Gesundheit von Betroffenen und nicht direkt Betroffenen – auch in Luxemburg darstelle. Wir wissen z.B. aus dem Schulalltag, dass die Diskriminierung von LGBTIQ+ Menschen, auch bei Klassenkamerad_innenen und Geschwistern seelische Verletzungen hervorruft. Sie betonten, dass eine altersgerechte Wissensvermittlung in der Schule sowie fundierte Fortbildungen für das Schulpersonal wesentliche Mittel gegen Diskriminierung und Gewalt sind und eine offene, inklusive, tolerante Gesellschaft fördern. Dabei wurde im Rahmen der Diskussion in der Chamber auch betont, dass es wichtig wäre, dass die Fortbildungen landesweit einheitlich sind. Besonders problematisch seien zudem die vielen Mythen und Missverständnisse rund um LGBTIQA+-Themen, darunter die Annahme, es gäbe nur zwei Geschlechter, sowie eine Vermischung der Themenbereiche trans und inter wie auch weitere Variationen der Geschlechtsmerkmale mit sexuellen und affektiven Orientierungen.

Entgegen weit verbreiteter Fehlinformationen gehe es im Schulunterricht nicht um eine Vermittlung sexueller Praktiken, sondern um die Förderung von Toleranz und Akzeptanz – sowohl gegenüber sich selbst als auch gegenüber anderen.

Teilweise entstand der Eindruck, dass die Diskussion weniger um konkrete Unterrichtsinhalte zu den genannten Themenbereichen in Schulen ging, sondern vielmehr um tief verwurzelte Ängste, Unwissenheit, Fehlinformationen (falsche oder irreführende Informationen, die meistens ohne böse Absicht verbreitet werden) und mögliche Desinformation (absichtlich falsche oder manipulierte Information, die gezielt verbreitet wird, um Menschen zu täuschen oder bestimmte Narrative zu fördern) wie auch den Umgang damit.

In der Presse wurde zudem das Problem der gesellschaftlichen Spaltung benannt.[2] Besonders besorgniserregend wurde dabei die wachsende Destabilisierung des demokratischen Dialogs wahrgenommen. Dabei wurde einerseits die Vielzahl teils widersprüchlicher, unklarer oder ohne auf prüfbare Grundlage vermittelter Informationen aufgezeigt, andererseits die Komplexität, zwischen fundierten Fakten und persönlichen Überzeugungen zu unterscheiden, verbunden mit zunehmenden Ängsten und wachsender Verunsicherung. Die Debatte zeigte auch Parallelen zu historischen Entwicklungen, insbesondere zu Zeiten vor und während des Nationalsozialismus, in denen gesellschaftliche Gruppen durch Desinformation und Hetze diffamiert, systematisch ausgegrenzt und viele Menschen aufgrund ihrer Gruppenzugehörigkeit über den Prozess der Dehumanisierung dem Tode ausgesetzt waren.

Diese und weitere Beobachtungen der Presseangehörigen spiegelten die Gefahr einer weiteren gesellschaftlichen Spaltung wider, die einen sachlichen Diskurs verunmöglichen könnte. In einem solchen Klima können Missverständnisse verstärkt, Vorurteile gefestigt und gesellschaftliche Gräben vertieft werden, was im schlimmsten Fall Ausgrenzung, Diskriminierung oder sogar Gewalt begünstigen kann. Zugleich besteht die Gefahr, dass Ängste und Unsicherheiten von Teilen der Bevölkerung für politische Ziele in eine bestimmte Richtung gelenkt oder verstärkt werden, wodurch es schwieriger wird, miteinander ins Gespräch zu kommen und gemeinsam Lösungen zu finden.

Der Bildungsminister stellte klar, dass Diversität ein Teil der gesellschaftlichen Realität ist und deshalb auch in den Schulen behandelt werden müsse. Wenn dies nicht in einem pädagogischen Rahmen geschehe, würden soziale Medien und das Internet diese Lücke füllen – oft mit fragwürdigen und teils extremen Inhalten. Aufgabe der Schule sei es, junge Menschen mit fundierten und altersgerechten Informationen zu erreichen, um Ausgrenzung und Gewalt entgegenzuwirken.

Die Ministerin für Gleichstellung und Diversität wies auf den gesellschaftlichen Backlash gegen Frauen und Frauen recht wie auch Minoritäten hin und zeigte die Bedeutung einer sachlichen Diskussion, auch in der Abgeordnetenkammer auf. Ferner betonte sie die Werte der luxemburgischen Gesellschaft wie Inklusion, Toleranz, Respekt, Diversität und Gleichtheit, die es Kindern zu vermitteln gelte. Dies schließe Menschenrechte ein, zu denen auch die Recht von LGBTIQ-Personen gehörten.

Diese Worte der Ministerin unterstreichen die Notwendigkeit, geschlechtliche und sexuelle Vielfalt nicht nur als gesellschaftlichen Wert, sondern auch als eine Frage des individuellen Wohlergehens zu begreifen. Während die politischen Leitlinien auf Inklusion, Toleranz und Gleichberechtigung abzielen, zeigt sich in der Realität, dass viele trans Personen weiterhin mit tiefgreifender Ablehnung und Unsichtbarkeit konfrontiert sind.

Geschlechtliche und sexuelle Vielfalt in der Schule sowie wiederkehrende Sensibilisierungsmaßnahmen in Presse und Social Media bedeuten für viele trans Personen keine Erleichterung, sondern ein schmerzliches „Zu spät“. Anstatt Befreiung empfinden sie sich oft ihrer Menschlichkeit und ihres Lebensmuts beraubt. Zu schwer wirkt die Aberkennung ihrer Existenz. Die Suizidalität unter trans Personen bleibt hoch, und die tatsächliche Zahl der Suizide ist nicht zu ermitteln. Nur in Einzelfällen wird ein Zusammenhang zwischen bekanntem Leidensdruck und einem tragischen Ende offensichtlich.

Diejenigen, die überleben, sehen sich weiterhin mit Verleugnung ihrer Identität, Diskriminierung und Gewalt oder der Pathologisierung ihres Seins ausgesetzt, insbesondere wenn sie körpermedizinische Maßnahmen in Anspruch nehmen wollen. Staatliche Unterstützung bleibt unzureichend, eigene Räumlichkeiten fehlen trotz jahrelanger Anfragen und Forderungen und Peer-Beratungsangebote erhalten nur begrenzte Förderung. All‘ das geschieht, während niemand wirklich hören will, was trans Personen erlebt haben und noch immer erleben. Statt ihre öffentlich zugänglichen Erfahrungen anzuerkennen, werden sie in akademischen Konzepten und Forschung verwaltet und in Aktionsplänen abgehandelt. Die Last ihrer Geschichten will nach wie vor niemand mittragen. Sie haben Kindheit, Jugend und oft auch das Erwachsenenalter in einer ablehnenden Gesellschaft überlebt – nur um nun zu schweigen oder sich von Nicht-Betroffenen, die sich als Alliierte sehen, verwalten zu lassen.

Manchmal wird ihnen signalisiert: „Ihr könnt leben, wie ihr wollt, aber schweigt und ordnet euch anderen Minderheiten unter.“ Andere sprechen an ihrer Stelle. Gleichzeitig stehen Gesellschaften vor zahlreichen weiteren Herausforderungen – wirtschaftliche Krisen, geopolitische Bedrohungen – und die Frage kommt auf: „Gibt es nicht wichtigere Probleme?“ Doch das Leid bleibt, und mit ihm wächst der gesellschaftliche Riss. Wer kümmert sich um die Traumatisierten, die Perspektivlosen, die Ausgestoßenen ohne Familie oder Freundeskreis? Für die offizielle LGBTI-freundliche Erzählung des Landes, die immer wieder hervorgehoben wird, wirken sie wie unerwünschte Zeug_innen.

Die Verleugnung der Realität geht weiter. Unüberlegte, teils böswillige Äußerungen führen zur Banalisierung von Diffamierung, Diskriminierung und Gewalt bis hin zur Entmenschlichung. Die Verschiebung des Sagbaren schreitet fort, der Ton ist rauer geworden. Fakten müssen keiner Überprüfung mehr standhalten, sondern weichen Meinungen, Provokationen und Polemik. Dies geschieht nicht isoliert, sondern reiht sich in eine lange Geschichte der Spaltung ein. Von Konflikt zu Konflikt wachsen Ablehnung und Hass, Feindschaften verhärten sich, und das Risiko von Vergeltung steigt. Doch Meinungen allein tragen keine Demokratie. Hass und Misstrauen setzen sich über Generationen hinweg fort. Es braucht mehr als Worte, mehr als gute Absichten.

Ein weiterer Aspekt, der nicht vergessen werden sollte, ist der bewusste und verantwortungsvolle Umgang in der Presse- und Öffentlichkeitsarbeit, insbesondere mit Interviews zu Themenkomplexen wie LGBTIQA+, sexuelle und geschlechtliche Vielfalt, Gender etc. Dies schließt sowohl die Rundfunk- und Fernsehanstaltungen ein wie auch jene, die eingeladen werden und ihre oftmals persönlichen Einschätzungen teilen, ohne vertiefte Kenntnisse von Themen zu haben, über die sie sprechen. Permanent ein Thema „köcheln“ zu lassen, „das gut geht“, um Klickzahlen zu erhöhen, die ein vermeintlich hohes, gesellschaftliches Interesse suggerieren sollen, und polemische, provokative oder sich häufig als Selbstdarstellung wiederholende, vermeintlich neue Inhalte, die als Sensibilisierung dargestellt werden, in kurzer Zeit aufzunehmen, beinhaltet die Gefahr der Übersättigung. Eine kommentierende Person spiegelte dies als Reaktion auf ein Interview wider, das nur einen Tag nach der Parlamentsdebatte ausgestrahlt wurde, in dem sie schrieb:[3] „[] genau wie Herr W. sind Sie, […], Opfer eines Eigentores. Die gefühlt permanente, penetrante Aufdringlichkeit mit welcher die LGBTQI+ Szene versucht auf sich aufmerksam zu machen richtet meiner Meinung nach mehr Schaden an als Positives dabei erreicht wird. Sensibilisierung, ja, Aufklärung, selbstverständlich ja, es kommt aber auf die Art und Weise an […]“.

Der Teufelskreis muss durchbrochen werden. Dialog und Annäherung müssen Ecksteine eines Prozesses sein, der gesellschaftliche Grenzen überwindet. Wenn alle Beteiligten bereit sind, alte Wege zu verlassen, Brücken zu bauen, Beziehungen zu knüpfen und Räume für Verständigung zu schaffen, kann die sichtbar gewordene, gesellschaftliche Spaltung überwunden werden. Dabei könnte gerade das Trennende genutzt werden, um eine gemeinsame Zukunft zu gestalten – ein kühnes, aber notwendiges und nicht aussichtsloses Unterfangen.

Luxemburg hat die Verpflichtung, sich für ein friedliches Miteinander in einer Demokratie einzusetzen, einhergehend mit einem klaren, humanistischen Menschenbild und einer entschiedenen Haltung für Freiheit und Würde. Unsere grundlegenden Werte müssen bewahrt und weitergegeben werden.

Die Herausforderungen der Gegenwart sind groß. Wieder erstarken Hass und Gewalt gegen Minderheiten in Europa. Luxemburg darf nicht zulassen, dass die Aberkennung menschlicher Existenz in seinem Land Raum gewinnt. Soziales Elend und Unwissenheit dürfen niemals Entschuldigung für solche Entwicklungen sein. Es liegt in der Verantwortung aller, wachsam zu bleiben.

Angesichts der hitzigen Debatte ist es nun entscheidend, einen sachlichen und konstruktiven Umgang mit dem Thema zu finden. Was unsere Gesellschaft in Luxemburg nun dringend benötigt, sind Besonnenheit, Ruhe und eine Abkehr von Polemik und Provokationen, egal von welcher Seite. Statt weiterer Polarisierung sollten Brücken gebaut werden: Besorgte Eltern müssen ernst genommen und mit fundierten Informationen begleitet werden, während gleichzeitig das gesamte Schulpersonal gestärkt wird, um Unsicherheiten zu begegnen und Bildungsziele ohne externe Einschüchterung zu vermitteln. Es geht nicht darum, Positionen gegeneinander auszuspielen, sondern darum, Wege zu finden, wie ein respektvoller Umgang, getragen von der Achtung des anderen, miteinander gefördert werden kann. Die Würde jedes Menschen in Luxemburg ist unantastbar (Art. 12 der Luxemburger Verfassung[4]) – und das sollte der Ausgangspunkt für alle weiteren Diskussionen und Handelungen in Politik und Alltag sein.


[1] AKnoll, A. (2024): Homosexuellenverfolgung (publiziert am 16.02.2024), in: nsdoku.lexikon, hrsg. vom NS-Dokumentationszentrum München, URL: https://www.nsdoku.de/lexikon/artikel/homosexuellenverfolgung-368.

[2] Javel, F. (2025): „Keine LGBTQ-Inhalte in der Schule“ Warum die Petition 3198 die LSAP entzweit, in: Luxemburger Wort, https://www.wort.lu/politik/warum-die-petition-3198-die-lsap-entzweit/17203452.html.

[3] EinMalEins2020 (30.01.2025 14:36): Méi „LGBTIQ+“-Themen an der Schoul, https://www.rtl.lu/radio/invite-vun-der-redaktioun/a/2272056.html.

[4] Journal officiel du Grand Duché du Luxembourg (2023): Verfassung des Großherzogtums Luxemburg, konsolidierte Fassung, anwendbar ab dem 01/07/2023, https://legilux.public.lu/eli/etat/leg/constitution/1868/10/17/n1/consolide/20230701.

———– Ende des Kapitels Petitionen 2024 ———